Sylvie Violan la directrice du Festival des arts de Bordeaux, a trouvé de nouvelles forces vives dans l’union du Novart bordelais et Des souris, des hommes de Saint-Médard-en-Jalles. Un programme multiculturel toujours plus exigeant, durant trois semaines à Bordeaux Métropole.
RODRIGO GARCÍA a décidé de ne pas renouveler son contrat à la fin de son mandat au CDN de Montpellier en janvier 2018. Afin de ne rien inventer, ni de supposer quoi que ce soit et de lire les propos de l’homme de théâtre dans son intégrité, nous vous livrons son communiqué dans son intégralité sans rien commenter.
Dans le cadre de la 45ème édition du Festival d’Automne à Paris, Rodolphe Congé adapte et joue pour le théâtre, une des nouvelles du recueil « Brefs entretiens avec des hommes hideux* », traduit par Julie et Jean-René Étienne.
Tout auréolé du grand succès de son adaptation, au festival d’Avignon dans l’été 2016, Ivo van Hove nous gratifie d’une reprise, à la Comédie Française, de sa mise en scène Les Damnés (d’après le scénario de Visconti). Cette création, opale aux couleurs de l’effroi, nous plonge dans les ténèbres de l’humanité.
Robert Wilson met en scène, la célébration de l’alliance fraternelle du Berliner ensemble et du Théâtre de la Ville, avec le Faust de Goethe*, chef-d’œuvre de la littérature allemande.
La Maison de la culture du Japon et la quarante cinquième éditions du festival d’automne nous offrent Avidya ; une pièce qui nous enivre, de la résonance émotionnelle, du surhumain. Une histoire écrite avec les yeux du cœur, de l’auteur japonais Kurô Tanino.
Après le merveilleux « Été* » et l’émouvant « L’Enfant - Drame Rural **» que nous avons défendu avec passion, voici « Monkey Money » la dernière pièce de Carole Thibaut. Pour autant ce texte ne nous est pas parvenue avec la force des deux autres cités plus haut. Malgré une création lumière et un travail vidéo de qualité d’Antoine Franchet ; et des comédiens bien en phase avec leur personnage.
Une pièce de théâtre à quatre dimensions. Des mondes parallèles qui se rencontrent. L’Histoire revisitée dans son contraire. C’est ce que propose Jacques Attali dans l’espace et le temps de la fiction. En quelque sorte une matriochka théâtrale où chaque poupée joue, au présent parallèle de la fiction, une action supposée.
La vie d’Ivo van Hove est faite de spectacles. Avec sa troupe du Toneelgroep Amsterdam, il déguise des autobiographies qui lui donnent la chance de vivre deux vies en une. Celle de la réalité et celle du théâtre.
Son livre, « La fureur de créer », édité chez Les Solitaires Intempestifs, nous restitue l’esprit d’un homme de théâtre dans sa vie et son art.
Pour la 22ème édition de la mousson d’été Michel Didym, son créateur, nous prédit dans son éditorial : « Les auteurs sud-américains et occidentaux vont entrer en dialogue et en résonance sur le sujet : "les gens en politique", à l’ancienne Abbaye des Prémontrés et vont, par leurs textes et leurs prises de paroles, électriser la torpeur estivale ».