J’ai tenu un blog théâtre (les dits du théâtre) que vous avez apprécié. J’ai fait souvent la Une dans votre journal. Je me suis investi comme si j’étais un des vôtres. Je suis intègre et comme je n’aime pas la censure gratuite, je me désabonne.
La dernière pièce de Tiago Rodrigues se projète dans un avenir proche, au sud de Portugal, en 2028. C’est l’histoire d’une famille, dans une Europe en guerre. Elle tue des fascistes depuis plus de soixante-dix ans.
Le Théâtre National de Strasbourg fait un focus sur un des auteurs dramatiques majeurs de la scène européenne actuelle. Avec un incipit en cours d’écriture, la revue Parages aborde Martin Crimp, avec un projet dramatique et choral, pour la réouverture, post-confinement, du Royal Court Theatre de Londre.
La biographie de Jean-Pierre Thibaudat présente, chez Les Solitaires Intempestifs, un avant-propos, 14 chapitres, et une bibliographie. Page à page, il analyse l’œuvre complète du dramaturge, écrivain, metteur en scène et acteur français Jean-Luc Lagarce (1957-1995).
Masqués par la Covid-19 « Les frères Karamazov » de Fédor Dostoïevski (1821-1881), n’ont pu être présentés comme prévu en ce début de saison. Soit ! Il en faut plus pour prendre au dépourvu Sylvain Creuzevault. Il adapte et met en scène « Le grand Inquisiteur » du susdit roman.
Au Brésil durant la dictature, au milieu des années 70. Anna, une dissidente, a été torturée. Du côté des bourreaux, il y avait son frère Paul. Quarante ans ont passé. Sœur et frère se retrouvent dans le petit appartement austère de ce dernier. Que se dire quand on est frère et sœur et qu’on ne s’aime pas ?
L’œuvre « À la recherche du temps perdu » donne tout ce que l’on peut trouver dans la multitude humaine. « Le côté de Guermantes » traite de la volonté du narrateur d'accéder à l’aristocratie ; et de sa désillusion quand il entre dans les secrets de cette noblesse.
Le tome Théâtre complet IV (1993-1995) de Jean-Luc Lagarce, chez Les Solitaires Intempestifs, nous permettra d’en savoir un peu plus de ce qui se cachait derrière ce doux regard qui, comme quand nous regardons la Joconde au Louvre, semble nous suivre dans notre présent.
À Stavelot, il y a un trésor. Il dort, bien caché, dans la cave de la maison familiale. Est-ce un amoncellement d’or ou de bijoux ? Non. Seulement douze bobines de films tournés entre 1963 et 1975. L’histoire d'un Muzungu, homme blanc d’Afrique.