Est-il si aisé de concevoir une chanson qui puisse évoquer en ne sombrant pas dans le misérabilisme ou la compassion, le sort ou la condition de ceux que la Vie n'a pas épargnés? avec pudeur, mais sans rien inventer? Isabelle Mayereau, avec son art habituel de l'ellipse, a pensé que c'était possible. Et c'est plus que réussi. Qu'on en juge plutôt.
La disparition, à l’âge de 87, ans de l’auteur et dessinateur Tomi Ungerer, nous fait nous souvenir, rétrospectivement, combien sa pensée, son trait, étaient alors, hors les sentiers battus...
Comme en écho évidemment improbable à mon avant dernier billet, j'ai lu, ce matin, un article du journal "Libération" qui, précisément, enquêtait sur ces Théâtres qui cherchent à reconquérir des publics, via la convivialité permise par leurs espaces de... restauration. Saisissant !
Un des plus importants Centres Dramatiques nationaux des années 1972-2002 s'apprête à changer de direction. Le Ministère de la Culture semble avoir oublié le passé glorieux d'une scène Européenne pour attirer les candidats. Revue de quelques détails.
Témoin d'une altercation très vive entre un camarade client des Transports en Commun de Lyon et deux employés (dont le manager) de l'Agence Commerciale Part Dieu des Transports en Commun de Lyon (TCL), je rapporte ici des faits véridiques.
Un choix non circonstancié par les aléas de la météo hivernale. Car cette chanson peut tout aussi bien s'écouter à la faveur d'un été caniculaire. Tant, imparable, pour ne pas écrire «exemplaire», ce qu'elle évoque sait bel et bien se passer des atours obligés d'une saison. Toute ressemblance avec un paysage d'actualité serait presque fortuite...
Nul doute que, pour beaucoup de sincères adorateurs de BARBARA, cette chanson figure, au contraire, sur quelque vinyl maintes fois rayé. Compte tenu de la célébrité de titres figurant dans celui-ci, est-ce, cependant, si sûr, quand il s'agit d' "À peine" ?
Je publie à nouveau cet article (édité en juillet 2018), compte tenu de son actualité. Reprise, à nouveau plébiscitée, en ce moment, au Théâtre du Gymnase à Paris. Le spectacle continue de narrer, pour le ravissement du public, nos rapports complexes ou au contraire décomplexés, avec la science chiffrée.
La chanson d'un jour ou d'un soir. Parce que certains vendredis vous laissent un peu exsangue, hébété, alors que vous ne manquez cependant ni d'énergie ni de pugnacité.
Comme le faisait remarquer un lecteur, Boris Carrier, les chansons excédant 4 minutes sont en général proscrites par les radios. Comme si une durée précise garantissait la qualité d'un texte mis en musique ou d'une musique traduite par un texte. Heureusement que certains font fi de cette norme.