Du debrief du contre-sommet du G7 aux manifestations à Hong Kong ; des incendies en Amazonie à la tribune sur l'éco-fascisme de Luc Ferry : on s'attarde sur tout ce qui nous a fait réfléchir et réagir le mois dernier !
Suite à un appel international, Youth For Climate (YFC) et Extinction Rebellion (XR) ont appelé à un rassemblement non déclaré devant l'ambassade du Brésil pour protester contre l'inaction du président Bolsonaro.
Devant la catastrophe écologique, de plus en plus d’écologistes de salon appellent à renoncer : renoncer à prendre l’avion, renoncer à la viande, etc. Cette écologie du renoncement ressemble un peu trop à de la résignation. Au fond, on ne renonce qu’à ce qu’on aime ; mais aime-t-on vraiment ce monde et le « mode de vie » qu’il nous impose ?
Au menu de cette dernière semaine de juillet: conséquences dramatiques du réchauffement climatique en tout genre, des pistes de réflexions pour une écologie radicale anticapitaliste, dévoilement du fonctionnement de la Bascule et un retour sur les actions passées et à venir en Île-de-France.
Comme a notre habitude, nous proposons un petit récapitulatif des choses vues, entendues et dites ces derniers jours.
Au menu, du nouveau pour le barrage de Sivens, le MERCOSUR, des nouvelles de l'ami Jean-Michel Apathie, la récupération de l'écologie par les investisseurs, la dictature verte qui vient et enfin l'éco-anxiété qui semble gagner toutes les franches de la population !
Comme la semaine dernière, nous proposons un petit récapitulatif des choses vues, entendues et dites ces derniers jours. Au menu, critique du concept de wilderness; la décroissance vue par Apathie; un Haut Conseil pour le climat ou comment l'écologie est une affaire de capitalistes et d'experts; big brother vs goelands; et un peu de colobris poussé à l'extrême... Des plats radicalement bio !
Comme la semaine dernière, un petit récapitulatif des choses vues, entendues et dites ces derniers jours. Au menu, carte des 100 entreprises les plus destructrices ; quelques critiques de la collapsologie ; blocage d'une mine de charbon ; répression subie par les militant-e-s de Bure à cuire ; capitalocène, racisme et féminisme chez Agitations... et une canicule qui s'annonce intense et difficile.
Les partis historiques de droite comme de gauche ont définitivement coulé. L'écologie de Yannick Jadot, comme il est d'usage aujourd'hui quand on veut gagner des élections, se dit donc "ni de droite ni de gauche". Mais quelle vision de l'écologie porte ce prétendu "dépassement" de la vieille alternative droite/gauche ?