Le blog de Dipa Arif

Le projet "Nasakom" de Sukarno, né d’une volonté d’unir nationalisme, religion et communisme, a marqué l’histoire politique indonésienne. Malgré sa chute violente après 1965, il laisse un héritage complexe. Cette analyse explore ses origines, son échec, et ses traces dans la politique indonésienne contemporaine.

Le capitalisme, dans toutes ses formes, façonne nos vies et nos sociétés de manière insidieuse. Même les régimes dits communistes, dans leur forme autoritaire, n’ont été qu’une version d'un capitalisme d'État. Il est essentiel de développer une conscience globale pour déconstruire ce système et œuvrer pour un monde plus juste et solidaire.

La « tyrannie de la minorité » est souvent utilisée pour justifier l'idéologie de la majorité. Mais est-ce vraiment la minorité qui tyrannise, ou la majorité qui impose des décisions injustes sous couvert de légitimité ? Cet essai explore, à travers l’histoire et les paradoxes démocratiques, la véritable nature du pouvoir et de la justice dans une société censée être égalitaire.

Les Papous ont une histoire bien singulière : ils ont connu l’avion bien avant la voiture ! Imaginez un peu : des peuples vivant dans des vallées isolées, fascinés par des avions qui descendent du ciel, alors que les voitures restaient un mystère. Quand ces dernières arrivent enfin, on leur explique que "non, ça ne vole pas". Un twist improbable dans l’histoire du transport moderne !

En Indonésie, la tension entre droit coutumier et principes républicains soulève des questions sur l'égalité, la liberté et la justice. Entre la sharia à Aceh et les traditions matrilinéaires de Padang, l'équilibre entre culture locale et droits humains reste un défi. La République doit-elle sacrifier certaines libertés pour préserver l'identité culturelle ?

Cannibalisme rituel ou complot géopolitique ? La disparition de Michael Rockefeller en Papouasie occidentale soulève des questions choquantes. Derrière l’accident de bateau, quels secrets cachent cette tragédie ? Une histoire de vengeance tribale ou de manipulation politique ?

De Kuta à Katmandou, les hippies ont bousculé les normes sociales et culturelles. À Bali, leur quête de liberté spirituelle a laissé une empreinte indélébile, mais a-t-elle vraiment enrichi la culture locale ou simplement alimenté une machine touristique ? Entre mysticisme et commerce, l’esprit rebelle des années 60 survit-il ou est-il noyé dans le consumérisme spirituel ?

En niant les viols massifs de 1998, Fadli Zon n’insulte pas seulement les victimes : il piétine la mémoire nationale. Derrière ses mots, c’est tout un système d’impunité qui se révèle, protégé par le silence et la peur. Une gifle à l’Histoire, dans un pays qui choisit encore l’oubli plutôt que la justice.

L’intelligence humaine, vantée comme sommet de l’évolution, est aussi l’outil préféré des puissants pour justifier l’injustifiable. Des bombes aux dogmes, des algorithmes aux absurdités politiques, elle sert trop souvent à maquiller la bêtise en vérité, et l’oppression en ordre. Jusqu’à quand ?

Assez de cette hypocrisie religieuse qui se cache derrière un « Je prierai pour toi » comme si ça suffisait ! Pendant que l’injustice déchire des vies, certains croyants préfèrent fermer les yeux, invoquer la prière comme un pansement inutile, ou parler de procédure pour ne rien faire. C’est une honte : une foi sans action est une insulte aux souffrants !