C'était un grand événement, mais très vite ce fut saboté par une bande de squatters anarchistes. Ils étaient venus avec des tambours et des sifflets. Une brillante initiative.
Il est chilien, espérantiste, et il a composé une chanson, qu'il interprète dans un petit clip vidéo... On l'entrevoit un moment, mais il a laissé la plus grande place aux images de manifestations de "democracia réal ya!"
PS du 7 octobre: je modifie le titre (ajoutant "in-") en raison de ce que j'ai appris hier (voir mon 1er commentaire)"Quand nous sommes apparus sur la place centrale de Kortrijk hier, les autorités étaient totalement prises au dépourvu. Au bout d'un moment un car de police est arrivé, et un grand agent débonnaire en est descendu, est venu vers nous et a commencé à nous demander, dans son meilleur français, qui nous étions, d'où nous venions, ce que nous faisions là, etc. Il fut visiblement soulagé quand je lui répondis en flamand."
Enfin, la Belgique. C'est un pays ridicule et je ne le comprendrai jamais, mais je l'adore. Pour un Néerlandais, la Belgique a quelque chose "d'exotique". C'est légèrement différent. Les gens y sont de tradiction catholique, ils ont un drôle d'accent, et dans le Sud ils parlent même une autre langue.
La raison pour laquelle j'ai parlé aussi longuement d'une chose aussi futile, c'est que ça présente un précédent très intéressant du point de vue légal. Cela mine notre système basé sur le consensus. Si les gens se réunissent pour envahir une commission et contourner un veto, alors notre structure est prête à être changée.
Trouvé sur les un des groupes "Facebook" du mouvement Démocratie Réélle Maintenant cette vidéo. Au Portugal, les policiers chargés de réprimer la manifestation finissent par se joindre aux manifestants.
Mauvaises nouvelles... Je vais déroger à l'habitude que j'avais prise de mettre en valeur un extrait de billet. En effet, ces derniers jours il semblerait que les choses soient en train de se dégrader dans le groupe de l'itinéraire n° 1 vers Bruxelles. Nous saurons sans doute ailleurs, ou plus tard, comment se passent les choses sur les autres itinéraires. Il se trouve que pour ma part c'est ce groupe-là que j'ai rencontré en Charente et que je "suis".Mais c'est aussi celui auquel participe l'auteur du blog "Spanish Revolution".
Chacune des Marches a son esprit propre. Il est présent dès le début selon les gens qui démarrent la marche, et même s'il se peut que les participants changent, généralement l'esprit reste.Si la marche est bordélique les premiers jours, il est probable que ça continuera de la même façon. On peut discuter à perte de vue, on peut élaborer des schémas organisationnels parfaits jour après jour, mais en pratique ça ne marche pas.
En tout, il y a eu environ quatre-vingt personnes arrêtées. On est trop nombreux pour un seul poste de police, et ils nous partagent entre le XI è et le XIX è arrondissement., jusqu'à huit personnes par cellule, pendant des heures, le temps de vérifier une par une nos identités. A minuit, nous sommes libres.