A bout de souffle, la Ve République et son présidentialisme. Comment renouveler la confiance des citoyens dans la politique, dans leurs élus, dans leurs institutions ? Faut-il passer à la sixième République,1
… comme le demandent des voix de plus en plus nombreuses ? Quels changements, quelles innovations apporter, et par quelles voies ? On en débat ici.
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Entre République et Bastille
À propos de l'édition
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Édition Entre République et Bastille
Lettre aux artisans et petits commerçants
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La gauche laissera-t-elle la révolte aux "benêts rouges"?
L'exaspération des Français a besoin d'exprimer dans la rue son "trop c'est trop" de la politique anti-sociale du gouvernement. La FNSEA, le MEDEF et les identitaires bretons ont flairé le filon. -
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L'appel des élus contre la privatisation des autoroutes
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Ecotaxe : pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
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De quoi le racisme du FN est-il le signe ?
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La révolte ou le progrès social, Hollande saura-il choisir ?
Qui sème la misère rècolte la colère. Hollande récolte se qu'il a semer. La trahison se paye dans les urnes, quand il y a des élections, et dans la rue, violemment, quant il ne reste plus aucun autre moyen de se faire entendre. -
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La concurrence ou les "valeurs", il faut choisir
M. François-Mickey Marty, grand maitre des sondages, intérogé par France Inter, résume l'argument principal de son livre. D'après sondages et entretiens, il ressortirait que la France doit revenir à ses valeurs. Les Français oublieraient les valeurs d'humanisme pour l'individualisme et le rejet de l'extérieur.Plus que jamais il nous prouve que les sondages ne permettent que des constatations mais ne donnent pas les causes de ces états de faits.M. Marty ne cherche absolument pas à comprendre pourquoi certains Français se referment sur eux mêmes et réservent leurs solidarités à leur entourage. Il met la charrue avant les boeufs. Les Français n'ont pas choisi de perdre leurs valeurs de vie en société, c'est la société qui leur impose de perdre leurs valeurs pour survivre en son seing. -
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L'émigration un problème insoluble?
Pour notre gouvernement, les émigrés Rom sont à renvoyés en Roumanie, mais il est très normal d'aller débaucher les médecins de ce pays pauvre et de laisser sans médecins sa population qui a pourtant payer leurs formations.De plus, notre gouvernement "socialiste" accueille à bras ouverts les riches quataris, qui dans leur pays exploitent des ESCLAVES (Népalais et autres) et où aucune justice n'existe pour les étrangers, même pour les plus riches (voir "Envoyė spécial" "la face cachée du Quatar" (http://www.france2.fr/emissions/envoye-special/les-otages-francais-du-qatar_144403). Mais il fait la chasse aux travailleurs sans papiers qui rêvent de s'intégrer ici.Parallèlement, les Français, qui s'indignent des pauvres venant chercher du travail en France, envoient leurs enfants travailler, et si possible, faire fortune, à Londres ou aux USA. Ils trouvent aussi très normal l'émigration fiscale vers la Belgique ou la Suisse et rêvent de prendre leur retraite au Maroc ou en Thaïlande, où la vie n'est pas chère (une bonne n'y coute quasi rien). Car bien sûr, pour beaucoup, il y a émigration et émigration, la bonne pour eux, la mauvaise pour les autres.Les raisons de l'émigration devraient donc être comprises par tous et, de plus, la liberté de vivre où l'on à choisi est un droit de l'homme. Mais tout est dans les proportions de l'ėmigration. Tout dépend de la capacité d'assimilation économique des émigrés dans un pays. Quand la proportion d'émigrés menace l'équilibre de l'emploi et donc aussi la capacité d'intėgration culturelle à la population autochtone, l'instinct de survie de celle-ci se cristalise sur le rejet de toutes différences. Alors, une réaction de défense, forge un retrait sur l'identité nationale, porte ouverte à toutes les ségrégations, à tout les facismes. -
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De la jeunesse et de ses indignations
"Indignez-vous" nous disait Stephane Hessel. Des lycéens ont mis en pratique cette indignation. -
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Débat sur l'Europe entre Mélenchon et Guetta
Sur France Inter M. Mélenchon a surréagit à une remarque sur l'Europe de Bernard Guetta. Ce n'est pourtant qu'un mal entendu. Ils sont d'accord sur les méfaits de cette europe libėrale, mais n'en cherchent pas les responsabilités au même niveau. Un examen plus serin est nécéssaire.Bernard Guetta est un european convaincu, ce qui l'a certes fait aveuglément défendre le traité de 2005. Mais ces derniers temps, il a enfin compris que l'ultra-libéralisme de cette Europe nous mène à la catastrophe et il multiplie les mises en garde. Ses appels à une Europe régulée et plus sociale devraient être entendus, ils ne sont pas si loin de ceux de J-L Mélenchon.
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