Les journalistes accrédités ont déjà largement critiqué Trump et Pence, qui ont longtemps tardé à encourager la distanciation sociale et continué à serrer virilement des mains. Nous nous concentrerons sur un débat qui divise les Etats-Unis, que l’on peut simplifier ainsi : les partisans de la chloroquine et de la liberté de mouvement s’opposent à ceux du confinement et du vaccin.
Si mon avis était déjà fait sur l’homme, je voulais savoir si l’écrivain en valait la peine où s’il était devenu une star de l’écriture par un simple concours de circonstances hors-du-commun.
N’étant ni thérapeute ni scientifique, les informations ci-dessous sont le fruit de recherches par mots-clefs basiques. Les commentaires sont là pour compléter ou rectifier l’article.
On assiste, un mois et demi après les premiers articles scientifiques chinois, à une ruée mondiale sur la chloroquine et l’hydroxychloroquine (notre article n'étant pas scientifique, nous utiliserons seulement le premier terme pour faire simple).
Début mars 2020, certains croyaient vivre en Europe dans un état de totale liberté. Mais leur libéralisme ne permettait pas de recruter les bras et les cerveaux dont nous avions urgemment besoin.
J’ai lu le premier « roman » d’Albert Memmi, initialement paru en 1953, dans une édition revue et corrigée de 1966. C’est un livre qu’on devine biographique. Le récit commence par une distribution de copies jaunes sur lequel le héros, Alexandre Benillouche Mordekhai doit disserter des « éléments condillaciens dans la philosophie de Stuart Mill »… afin de devenir agrégé de philosophie.
A l’heure où chacun rentre dans son pays, l’Union Européenne ne semble pas pressée de revenir sur ses dogmes. Business as usual, Schengen doit se poursuivre, coûte que coûte. Pourquoi faire autrement, puisque l’OMS n’a pas émis de recommandation invitant les autorités à limiter les voyages et le commerce ? Et d’ailleurs, qui pourrait bien rembourser les billets d’avion de nos cadres dynamiques ?
On échappe rarement aux mesquineries pécuniaires, surtout quand on est une légende en devenir. Le projet date de 1950-1951, une période difficile pour Vian précise Nicole Bertolt dans la postface. Le pataphysicien était alors en quête de liquidités !
J'ai retrouvé dans La dissonnante, la délicatesse et le souffle des nouvelles que Clément Rossi publiait l'an dernier encore sur le forum Jeunes écrivains.