Bien heureusement, les Hauts-de Seine ne sont pas que le territoire des Sarkozy, Balkany et Devedjian. C'est à Gennevilliers, ce vendredi soir et demain que l'Université populaire créée dans ce département et les Cahiers d'histoire, revue d'histoire critique, organisent une série de rencontres sur le thème «Etre d'ici et d'ailleurs».
Mediapart se développe. A partir d'aujourd'hui, nous vous proposons de nouveaux traitements et de nouveaux formats. C'est un Mediapart Audio que nous venons de créer et qui va progressivement s'étoffer. Jusqu'alors, Mediapart se lisait (textes), se regardait (photos et vidéos). Désormais, il s'écoute !
Pour avoir révélé le scandale d'une politique de quotas discriminatoires dans le football, voilà aujourd'hui Mediapart mis en cause ou attaqué. C'est sans surprise venant du pouvoir politique et de la Fédération française de football. C'est affligeant de bêtise quand il s'agit de confrères. Et le tout est assez désespérant pour ce qu'il montre d'une France crispée et indifférente.
A vingt-cinq ans d'écart, les images sont les mêmes. Elles montrent les tentatives désespérées, en 1986 à Tchernobyl et à Fukushima en 2011, d'enrayer la catastrophe nucléaire.
Les Kadhafi sont très fâchés contre Sarkozy et ils le disent. Après le père, qui déclarait le 15 mars «Il est devenu fou, il souffre d'une maladie psychique, c'est ce que dit son entourage», voici le fils qui lui demande de «rendre l'argent qu'il a accepté pour financer sa campagne électorale».
Abonnés et lecteurs, nous vous donnons rendez-vous sur notre site, jeudi à 11 heures, pour assister à la retransmission en direct de notre conférence de presse. Pourquoi un si étrange exercice, le premier depuis notre lancement en mars 2008?
Le procès en diffamation intenté contre Mediapart par le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, se tiendra les 18, 20 et 21 octobre 2011. Pour souligner le caractère sans précédent de cette offensive de l'Elysée, nous ferons citer une trentaine de témoins, dont le chef de l'Etat.
L'élection présidentielle en Haïti a été massivement truquée ou, au mieux, loupée. Tout le monde en convient. Et il y a un perdant : Michel Martelly, dit Sweet Micky, l'un des grands chanteurs populaires de l'île.
Une fois de plus, le président de la République a décidé de prendre Mediapart comme cible. Nous sommes le seul média cité à trois reprises dans la longue (douze minutes) explication présidentielle délivrée en « off » à quelques journalistes à Lisbonne, vendredi 19 novembre.