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Gauche Pinard

À propos du blog
Déprimé par l’urgence climatique et l’état du monde, effrayé par l’avenir qui se dessine, écoeuré par la petite bourgeoisie capitaliste et les médiocres au pouvoir, dépité par la gauche. Je promets (d’essayer)1 de rester poli.
  • Quand je regarde mon fils, je pense à Gaza

    Par | 3 commentaires | 7 recommandés
    Quand je regarde mon fils d’à peine plus d’un an, si heureux et insouciant, je ne peux m’empêcher de penser à Gaza et aux horreurs que vivent tout un peuple au même moment.
  • Hollande et Mélenchon veulent-ils nous dégoûter définitivement de la politique ?

    Par | 3 recommandés
    A l’heure du rassemblement de la gauche face aux menaces du RN et d’un néolibéralisme sans cesse plus brutal, deux septuagénaires démoralisants viennent gâcher la fête. L’un se préparant à s’accaparer une éventuelle victoire pour faire son come-back, l’autre semblant préférer qu’elle n’ait pas lieu si elle doit se faire sans lui.
  • Sur LinkedIn, la médiocrité ordinaire

    Par | 19 commentaires | 67 recommandés
    Peu après son arrivée en France, LinkedIn a très vite remplacé le désormais complètement oublié Viadeo en tant que réseau social professionnel de référence. A chaque fois que l’on s’y connecte, on se demande quelles bouffonneries on va bien pouvoir y lire… Et on est rarement déçu du voyage.
  • La droite est ridicule d'accuser la gauche de faire le jeu du RN

    Par | 1 commentaire | 7 recommandés
    C'est devenu une rengaine habituelle pour la droite, des mal nommés Les Républicains aux médiocres de la macronie, que d'accuser la gauche de faire le jeu du RN. L'argument permet de détourner l'attention et de porter atteinte à la crédibilité de son adversaire. Mais dans les faits, c'est plutôt cette droite dépourvue d'une quelconque vision de l'intérêt général qui « fait le jeu du RN ».
  • Avant j’étais un castor. Mais ça, c’était avant Macron

    Par | 1 commentaire | 4 recommandés
    Avant, j’étais de ceux qui font barrage à l’extrême droite. De ceux qui votent sagement pour le candidat de droite qui se retrouve contre un(e) Lepen au second tour de l’élection présidentielle. Mais face à la violence et la bêtise du premier quinquennat d’Emmanuel Macron, voter pour lui est au dessus de mes forces.
  • Une gauche pathétique et prisonnière de sa logique de partis

    Par | 2 commentaires | 2 recommandés
    Alors qu’on l’attend depuis 2017, “l’union de la gauche” semble impossible, saboté par la logique de partis et les égos de quelqu’uns. Après la probable défaite qui s’annonce, il faudra reconstruire sur de nouvelles fondations sous peine de voir les mêmes erreurs se répéter.
  • Mais à quoi sert encore Place Publique ?

    Par | 1 recommandé
    Le mouvement Place Publique a suscité très brièvement l'espoir de servir de plateforme à l'union de la gauche. L'initiative aurait pu être utile si elle s'était inscrite sur le temps long, mais on se demande ce qu'il en reste aujourd'hui à part un joli site internet.
  • Mélenchon, le meilleur ennemi de la gauche

    Par | 65 commentaires | 19 recommandés
    Si on m’avait dit un an avant l’élection présidentielle de 2017 que j’allais voter pour Jean-Luc Mélenchon, je n’y aurais jamais cru. Cinq ans plus tard, je crois toujours en sa capacité à transformer le pays, mais hélas moins en sa capacité à rassembler et à gagner.
  • Yannick Jadot n’a aucune chance et semble être le seul à ne pas s’en rendre compte

    Par | 20 commentaires | 36 recommandés
    Yannick Jadot essaie de se présenter depuis des années comme le candidat naturel d’EELV à la présidentielle, et plus largement comme l’homme providentiel derrière lequel toute la gauche devrait se ranger. Il s’entête à y croire quand ses résultats à la primaire et les sondages devraient l’inciter à l’humilité. En marche vers une défaite programmée.
  • En état de mort cérébrale, que reste-t-il à attendre du Parti Socialiste ?

    Par | 34 commentaires | 26 recommandés
    Incapable de produire la moindre idée, le PS ne peut que se reposer sur ses gloires passées et les petites manoeuvres de ses dirigeants pour conserver leur poste. Le parti ne suscite à gauche que mépris, ou pire, indifférence, et sa défaite annoncée pourrait être une nouvelle étape vers sa disparition. Mais serait-ce si grave ?