À la suite du décret gouvernemental du président iranien, Hassan Rohani, et avec l'approbation du guide suprême, Ali Khamenei, qui ont forcé la population à retourner au travail, le nombre de cas positifs a augmenté de façon exponentielle ces deux dernières semaines, donnant à la tragédie du coronavirus une nouvelle dimension.
Hier, Rohani a affirmé que le nombre de villes exemptes de virus augmente et que nous approchons de la phase de contrôle du virus, d'autres entreprises et centres à plus forte fréquentation, tels que les stades et les centres culturels, peuvent également être rouverts. »
Cette page vise à donner les chiffres des décès dus au Covid-19 en Iran. Les informations sont rassemblées et publiées par la Résistance iranienne. Les chiffres sont repris ici province par province, au fil du mois de mai et mis à jour.
la force principale de l'opposition iranienne (OMPI / MEK) a annoncé dans l’après-midi du 12 mai 2020, que le nombre de décès dus au coronavirus dans 317 villes d’Iran a dépassé les 41.000. Le nombre de victimes dans les provinces de Qom est de 3370, de Mazandaran 2510, de Khouzistan 2320, de Golestan 1280, de Hamedan 1140, de Lorestan 1085, de Kurdistan 660, de Markazi 582 et de Kerman 460.
La larme à l'oeil, la main tendue, le régime de Téhéran joue les victimes et crie à tout va que les sanctions le poussent à faire les fonds de tiroir et l'empêchent, faute d'argent, de lutter contre l'épidémie du coronavirus. Et il y a des pays assez naïfs pour le croire et lui prêter quelques millions.
Avec le coronavirus, l’Iran est devenu un immense champ de bataille, où le régime tente de s’allier le virus pour conserver la dictature, où les morts se comptent par milliers, et où la colère des Iraniens va atteindre un point de rupture.
Une conférence au Parlement européen à Strasbourg le 23 octobre a présenté un ouvrage majeur sur le massacre de l’été 1988, un crime contre l’humanité commis par le régime iranien
L’Iran continue à faire débat sur la scène internationale pour savoir quelle politique adopter afin de contrer l’escalade des tensions entre le régime iranien et l’Occident. La fermeté est la réponse appropriée à cette dictature.