Avec l’élection d’Hassan Rohani en 2013, présenté comme un « réformateur », d’aucuns avaient espéré que non seulement la situation économique allait s'améliorer, mais que les droits de l'homme seraient mieux respectés. Il n'en a rien été. Les exécutions capitales de mineurs et la violation des libertés publiques sont toujours les mêmes dans ce pays antique.
L’élection présidentielle iranienne aura lieu dans trois jours et les autorités veulent en faire une démonstration de légitimité pour le régime. Or, les appels au boycott du scrutin truqué lancés par les représentants de la société civile et l’opposition organisée se font entendre avec plus d’intensité.
Les élections présidentielles auront lieu le 19 mai prochain en Iran. Mais dans un pays à des années lumières de la démocratie, on peut se demander si elles doivent réellement être qualifiées d’« élections » ?
Alors que l’attention de toute la France est aujourd’hui portée sur une campagne présidentielle particulièrement rocambolesque, les élections présidentielles à venir en Iran, qui auront lieu quelques jours après notre propre scrutin, se font très discrètes. Et si leur enjeu particulièrement limité prête à peu de commentaires, puisque les parties qui s’affrontent, contrairement à chez nous, n’ont p
Le sénateur John McCain, président de la Commission des services armés du Sénat américain, s’est entretenu aujourd’hui à Tirana, la capitale albanaise, avec Maryam Rajavi, présidente-élue du Conseil national de la Résistance iranienne.
Cent personnes, dont des enfants, ont été tuées mardi dans un bombardement aérien qui a émis du gaz toxique à Khan Cheikhoun, une ville du nord-ouest de la Syrie tenue par les rebelles. 400 autres ont été asphyxiées, selon l’Union des organisations de secours et soins médicaux.
Une importante célébration du Nouvel An persan a eu lieu à Tirana en Albanie. « Norouz », qui signifie « le jour nouveau » en persan, coïncide avec le début du printemps et symbolise le renouveau.
Les pasdarans, ce sont ces mollahs, propriétaires de plus de la moitié de l’économie Iranienne, et totalement féodés aux moultes désirs et autres crises d’hystérie et de paranoïa du guide suprême.
Le Comité international pour « la justice pour les victimes du massacre de 1988 en Iran » (JVMI) a établi dans son premier rapport que ce qui avait été dévoilé publiquement et rapporté concernant le massacre de prisonniers politiques en Iran en 1988 n’était que la partie visible de l’iceberg.