Enfin une première manche gagnée par Guillaume Tatu v. Richard Ferrand. Sa ‘’lutte finale’ sera longue, mais avec cette ‘première européenne’ démarre enfin un débat juridique important pour la liberté d’expression en général en la presse libre en particulier.
Une ministre de la Justice qui bloque sur Twitter un magistrat honoraire, devenu journaliste, ce n’est pas très anodin. Si je considère ce bloquage comme « un cadeau juridique » (mon premier commentaire dans la presse belge), la première procédure similaire en France (Guillaume Tatu v. Richard Ferrand) doit intéresser tout citoyen, et certainement les journalistes.
Voilà le dernier volet de ma conférence au festival TomorrowNow à Liège, le 22 avril 2018.
Je terminais la troisième partie avec un appel : ‘nous n’aboutirons qu’à une justice juste, si nous la construisons proche des gens et à taille humaine’.
J’espère que la magistrature ne se réunisse plus sous la coupole du palais de Bruxelles pour célébrer avec suffisance ses grand-messes.
Voilà le troisième volet de ma conférence au festival TomorrowNow à Liège, le 22 avril 2018. Je terminais la deuxième partie avec un constat : le choix du modèle conflictuel et guerrier au lieu du modèle de concertation. Quatre étapes démontrent pourtant un « effet retour » d’une autre politique judiciaire.
Voilà le deuxième volet de ma conférence au festival TomorrowNow à Liège, le 22 avril 2018. J’avais constaté que la justice est un producteur de ...pauvreté. Je vous invite donc dans ma salle d’audience 'cabrio'... beau symbole d'ouverture.
Le 22 avril 2018, dans le cadre du festival TOMORROW NOW à Liège, j’ai eu l’honneur et le plaisir de pouvoir présenter une petite esquisse de « Justice Now », donc la « Justice Maintenant » ou encore mieux peut-être « Justice Enfin » ! L’ex-député Bernard Wesphael (pour qui j’ai écrit la postface de son livre ‘Assassin’) m’introduisait.
‘Cobre (cuivre)’ (2017, Editions Luce Wilquin) est un rappel d’histoire bien utile pour nos jours, avec un président américain qui se vante de la torture ‘utile’ et s’entend mieux avec les leaders autoritaires que ceux qui défendent l’état de droit.
Seulement pour comparer : fin 2012, le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) refusait à deux reprises de sanctionner Jean-Dominique Le Milon, vice-procureur à Bobigny, qui avait tenu des propos en novembre 2010 lors du procès des « policiers-menteurs » d’Aulnay-sous-Bois. Je cite: « La police française, ça ressemble un peu à la Gestapo dans ce dossier ».