Le blog de Jean-Claude ICHAI

Il y a ce constat, simple, clair, limpide : on ne peut pas résoudre le problème de la violence par l’exercice d’une violence concurrente. Jamais.

À partir du désir et/ou du besoin, moteur constant de l’existence. Un nouveau billet qui sera probablement , sans surprise, consciencieusement (prudemment ?) boudé, comme la plupart des précédents. À moins que ? Sa partie finale sur la notion de victime pourrait inviter le débat contradictoire… Il est à présent écrit et sera donc, quoi qu’il en soit, entendu.

Expliqué par un nul en histoire-géo/politique. Je fais court et partiel, à compléter ? corriger ?

court essai après lecture de plusieurs billets faisant écho aux récentes affaires de viols en série sur personne inconsciente et la mise au jour d’agressions sexuelles commises par une autorité morale jusqu’alors célébrée.

proposition courte et non savante, pas forcément claire mais clairement un ressenti. Une approche envisageable ?

Il y a cette idée que ce qui a été fait peut être reproché, que ce qui a été fait aurait pu ne pas l’être, ce qui est une manifestation remarquable de la bêtise comme modèle de pensée. Notamment par l’impulsion donnée à cette occasion, à ce que précisément l’on reproche, et parce qu’on reproche.

Les procès en responsabilités extérieures se multiplient un peu partout jusque ici dans le club. Les arguties pleuvent, la litanie des plaignants s’éternise. Je suggère qu’avec du sérieux et de l’audace, on parvienne à s’économiser toutes les contorsions mémorielles compétitives.

Un essai sur le discernement, à nouveau. Constat