Aucune des trois candidates ne tire les leçons des désastres urbains qu’incarnent Venise, Barcelone, Amsterdam, Lisbonne, Athènes, Lucerne, à dire vrai un nombre croissant de villes européennes, et des mobilisations populaires que suscitent ces catastrophes sociales et environnementales.
La disparition du pluralisme des médias et le régime de la presse unique qui s’ensuit dans la plupart des régions françaises n’ont pas habitué nos élus au débat et à la contestation.
Mardi 11 février, anniversaire de la révolution de 1979, un rassemblement sur le parvis des droits de l’Homme, au Trocadéro, à Paris, de 12h30 à 13h30, demandera leur libération inconditionnelle et immédiate.
L’exécution du général Ghassem Soleimani s’ajoute à l’incroyable suite d’erreurs stratégiques que les Etats-Unis ont commises au Moyen-Orient depuis les années 1970, et qui les ont plongés, et nous avec, dans le cauchemar du 11-Septembre, de l’intervention en Afghanistan, de l’invasion de l’Irak, du renversement armé de Kadhafi.
Le 24 décembre, Fariba Adelkhah est entrée en grève illimitée de la faim, de pair avec l'Australienne Kylie Moore-Gilbert, détenue depuis quinze mois en Iran, pour obtenir leur libération et protester contre les violations des droits fondamentaux. Pour défendre leur liberté personnelle, mais aussi la nôtre, notre liberté de pensée.
Théo Pilowsky et Edouard Zeller nous parlent, dans deux récits de science-fiction reproduits ici, de formes que pourrait prendre la domination impériale grâce aux nouvelles technologies, et dont nous voyons les premières manifestations non seulement en Chine mais aussi, de plus en plus, dans les démocraties occidentales.
La XIe Rencontre européenne d’analyse des sociétés politiques, à Paris, les 17 et 18 octobre prochains, se penchera sur la compréhension des constructions à la fois historiques et théoriques que sont les aires culturelles, et dont l’étude vaut à l’anthropologue Fariba Adelkhah d’être détenue en Iran depuis juin dernier.
Fariba Adelkhah, anthropologue franco-iranienne, a été arrêtée en Iran au début du mois de juin sans que les autorités de la République islamique jugent utile d’en expliquer les raisons. Portrait scientifique de cette chercheuse internationalement reconnue pour la qualité et l’indépendance de ses travaux.
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