Je ne peux que modifier mon billet... quatre semaines (au moins) de confinement pour que les individus non symptomatiques ou non affectés par le virus puissent déprimer et pour certains perdre leur emploi.
Depuis mars, je me suis constitué une petite somme d’articles qui balisent les cycles de l’épidémie dans un dossier appelé "jour d'après"... Je viens d'ouvrir le suivant sans plus la moindre illusion sur l'après.
J’avais prévu de parler de la jouissance du négatif qu’il peut y avoir à porter un masque sous l’autorité d’une menace instrumentalisée par un pouvoir intéressé par l’exercice de la domination sur les corps mais ce sera pour un autre billet.
"Dans un souci de limitation des déplacements et des contacts inter-personnels, nous vous invitons à organiser et regrouper vos retraits auprès de la plateforme territoriale."
De toute façon, quand on doit trouver un mot clé : il n'y en a plus qu'un, "COVID"
Un bon moyen d'étouffer la voix démocratique soumise à l'influence d'une propagande sanitaire "hors norme" et d'en boucher la voie : circulez, il n'y a rien à voir !