L'air du temps est à la peur et à la soumission conditionnée à l'obéissance. Les mensonges, forfaitures et autres effets de corruption morales et matérielles de la plupart de nos dirigeants et de leur relais médiatiques imposent l'idée d'une désobéissance civile comme impératif démocratique.
Le titre de ce billet vient finalement interroger les motifs d’une politique de communication qui semble attendre du citoyen qu’il consente à son agitation par la peur et l’angoisse sans y opposer la moindre résistance.
Je ne pose que des questions, la situation me laissant sans réponse personnelle comme bien d'autres individus ou devrais-je dire "sujets" qui peinent à s'entendre "citoyens".
Le mal est profond et ne se réduit pas à un virus dont le signifiant semble désormais concentrer toutes les anomalies d’une époque marquée par autant de dérives que d’impasses.
Il a fallu du temps pour façonner une représentation officielle qui a valeur de vérité pour un pouvoir politique qui semble bien déterminé à ne perdre la main.
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