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On savait déjà que Macron avait le plus grand mépris pour tous ceux qui ne sont pas, selon lui, les "premiers de cordée" :
des gens de rien, des ouvrières illettrées, des chômeurs incapables de trouver un emploi même en traversant la rue, des assistés coûtant « un pognon de dingue » à la société, …
Mais, depuis plusieurs mois, ce mépris s’accompagne d’une forme de persécution quasi systémique.
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Depuis plusieurs mois, la caste des médiatocrates a décrypté avec sa finesse habituelle les raisons profondes du soutien apporté par Jean-Luc Mélenchon et le mouvement de la France Insoumise aux populations palestiniennes, à Gaza et en Cisjordanie, face aux représailles criminelles décidées par le gouvernement d’extrême droite israélien après les attaques terroristes du 7 octobre 2023.
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Relocalisation, réindustrialisation, réarmement industriel … autant de slogans dans les discours des dirigeants européens qui cachent mal leur impuissance à faire bifurquer leurs politiques économiques, notamment en Allemagne et en France.
Quelques rares pays dénotent pourtant au sein de l’Union Européenne. L’Irlande, bien sûr, pour les raisons fiscales évidentes.
Mais surtout le Danemark.
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Chaque jour la situation des habitants de la bande de Gaza empire de manière dramatique dans la quasi-indifférence générale des dirigeants du monde « occidental », celui qui se prétend libre.
Elle est devenue une véritable « zone de mort » selon les termes du directeur général de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé).
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Le vers bien connu du célèbre poète Guillaume Apollinaire a une signification ambiguë.
Les uns y voient un enthousiasme belliqueux partagé par l’auteur, d’autres, comme le cinéaste Richard Attenborough et mon regretté ami le dramaturge Pierre Debauche, dans la pièce qu’il a créée aux Amandiers de Nanterre pendant la guerre du Vietnam , une satire ironique du militarisme et du bellicisme.
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En annonçant le 12 février l’abrogation du droit du sol à Mayotte, le ministre Darmanin répondait selon lui à la colère des collectifs de citoyens qui paralysaient l’île, excédés par l’insécurité chronique et l’immigration irrégulière.
Depuis, plusieurs voix ont critiqué tant la faisabilité constitutionnelle de ce projet que son efficacité vis-à-vis des problèmes qu’il est censé résoudre.
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Transition impossible parce que la notion même de transition, avec tout ce qu’elle implique en termes de transformation graduelle, de linéarité du changement, de coordination ordonnée, s’avère, à l’analyse comme à l’expérience, promise presque certainement à l’échec.
Pourquoi être si pessimiste, alors que la COP 28 a marqué une avancée significative en matière de coordination ?
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Le transfert au Panthéon de Missak Manouchian, mercredi 21 février, sera accompagné d’une plaque commémorative en hommage aux 23 résistants qui ont été condamnés à mort avec lui.
Parmi eux, se trouve le nom d’un jeune d’Argenteuil, Rino Della Negra, fils d’immigrés italiens, footballeur du Red Star, qui est mort fusillé à l’âge de 20 ans, le 21 février 1944, au Mont Valérien.
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Dans les conflits du Proche et du Moyen Orient, il est devenu habituel de dénoncer les « doubles standards », c’est-à-dire les différences de traitement politique et médiatique entre les États en conflit selon leurs réseaux d’alliance ou de sympathie.
On peut légitimement se demander ce qui, dans ces pratiques, relèverait plus de l’hypocrisie, du cynisme ou de la complicité ?