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Les dirigeants de l’Union européenne semblent vouloir à tout prix donner raison à George Orwell qui, dans son roman dystopique « 1984 », publié en 1949, décrivait un État totalitaire disposant d’un Ministère de la Vérité.
Celui-ci, dénommé ainsi par ironie, était chargé en réalité de falsifier l’histoire, de réécrire le passé afin qu’il corresponde à la version officielle du pouvoir.
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La crise ukrainienne évolue après plusieurs récents phénomènes concomitants : la volonté des USA de s’en désengager pour se préparer à leur futur conflit avec la Chine ; les avancées importantes de l’armée russe sur le terrain ; l’épuisement de la société ukrainienne devant les destructions ; l’incapacité des pays européens à sortir de leur obsession antirusse et à envisager une paix durable.
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Le ministre de l’Intérieur et nouveau président du parti dénommé (par antiphrase ?) « Les Républicains » vient d’affirmer vouloir représenter la France des honnêtes gens.
C’est à dire, pour lui, ceux qui « croient au travail, à l'effort, au mérite, qui ne cassent rien, ne manifestent pas, paient leurs impôts... La France du silence, que plus personne n'écoute. » (fin de citation).
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Plus connu en France sous le titre de « docteur Folamour », le film de Stanley Kubrick de 1964 traite d’une manière faussement humoristique le risque de guerre nucléaire, au cœur des préoccupations mondiales dans les années 60,
Il met en scène la paranoïa antirusse d’un général américain qui décide seul de lancer des bombes atomiques contre Moscou ce qui provoque l’embrasement planétaire.
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Les gesticulations chaotiques (volontaires ou non) de Trump déstabilisent l’ensemble de la planète, mais elles ont des effets surtout dévastateurs sur l’Union européenne, pour sa cohésion interne comme pour ses relatons extérieures, notamment son voisinage plus ou moins proche.
L’UE se trouve ainsi confrontée, dansses rapports avec les USA, au même choix : indépendance ou vassalisation ?
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D’abord, il ne s’agit pas d’une guerre, puisque l’agresseur, Israël, n’a jamais déclaré la guerre à l’Iran : le terme de « conflit » serait plus approprié.
Ensuite, Israël ayant engagé les hostilité, il serait logique, comme à l’habitude, qu’on nomme les deux parties dans l’autre sens : « conflit Israël-Iran » (et non Iran Israël, expression qui laisse entendre que ce serait l’Iran l’agresseur).
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On se souvient que l’humoriste Guillaume Meurice, accusé à tort d’antisémitisme après une chronique dans laquelle il avait assimilé Benjamin Netanyahou à une sorte de nazi, avait quitté la radio France Inter.
Plus d’un an après, au-delà de l’humour et au regard de la situation à Gaza, on peut se demander s’il n’avait pas compris avant bien d’autres la nature réelle du gouvernement israélien.
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L’instrumentalisation du « rapport » concernant la prétendue infiltration des « Frères musulmans » dans la société française qui a été faite par le pouvoir exécutif, par la quasi-totalité des partis politiques et surtout par l’essentiel des médias, n’est qu’un épisode parmi d’autres de la dérive des « élites » françaises à expliquer leurs échecs par les complots de leurs ennemis.
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AUX HÉSITANTS - un poème de Berthold Brecht de 1933
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En marge de la manifestation de soutien à la Palestine du samedi 12 avril à Strasbourg, des incidents ont éclaté aux abords d’une boulangerie.
Des activistes d’extrême droite en ont profité immédiatement pour propager sur les réseaux sociaux une fausse information accusant « les islamistes » de s’en prendre à « un commerce juif », provoquant des réactions indignées jusqu’au sein du gouvernement.