Ces deux chiffres, en apparence anodins, et donnés au cours du journal coast-to-coast de 18h sur CBS, hier, mercredi 16 janvier, sont terrifiants, considérés depuis ce côté-ci de l’Atlantique. En effet, 100.000 c’est le nombre d’armes à feu vendues aux Etats-Unis depuis le massacre, le mois dernier, à Sandy Hook Elementary, à Newtown dans le Connecticut, pendant lequel 20 enfants et 6 adultes ont été tués par un déséquilibré armé jusqu’aux dents.
Le 24 décembre 2012, l’acteur américain Jack Klugman est mort à son domicile de Woodland Hills à Los Angeles. Il avait 90 ans et sa popularité était immense aux Etats-Unis, alors qu’il était presque un illustre inconnu en France, abstraction faite des cinéphiles.
En septembre 1862, au cœur de la guerre de sécession, le président américain Abraham Lincoln avait lancé un ultimatum, qui ressemblait plus, aux yeux de ses adversaires politiques, à un coup de bluff qu’à une conviction profonde, à l’attention des troupes confédérées, à savoir que, si elles ne déposaient pas les armes avant le 1er janvier 1863, il déclarerait les esclaves libres pour toujours.
C’est donc officiel, Hillary Clinton ne sera pas remplacée par Susan Rice au poste de secrétaire d’Etat aux affaires étrangères, mais par John Kerry. Susan Rice, amie proche de Michelle Obama, membre de l’équipe de campagne 2008 de Barack Obama qui l’avait nommée ambassadeur auprès des Nations Unies, était pourtant le premier choix du président américain.
Shakespeare : Les feux de l’envie, c’est le titre de l’ouvrage magistral que René Girard, non pas l’entraîneur de l’équipe de football de Montpellier mais le célèbre philosophe avignonnais qui a fait toute sa carrière dans plusieurs universités américaines, a publié en 1990
L’édition en ligne du Guardian de ce jour a mis en « une », un entretien avec Jean-Luc Mélenchon (une grande première pour le quotidien britannique) réalisé par le journaliste Seumas Milne. Les réponses sont en français, sous-titrées en anglais, que l’on peut consulter intégralement ici.
Les semaines se suivent et se ressemblent pour le premier ministre britannique David Cameron. Après les deux camouflets administrés sans ménagement par ses concitoyens (lire ici un précédent billet), le leader conservateur a encore passé un vendredi, le 30 novembre, très inconfortable, par la faute des électeurs et par la sienne propre.