La vérité est parfois russe, parfois française, anglaise, etc. Mais elle est toujours fragile. C'est un petit torero avec une petite cape rouge face à la bêtise au front patibulaire de taureau.
Le pouvoir ne s’acquiert pas toujours démocratiquement… Il suffit d’être convaincu. Paradoxalement, cela permet parfois de vaincre. Le talent de Doriochon consiste à faire partager sa conviction.
Bénie soit cette humanité qui se met à plusieurs, malgré ses servitudes, ses guerres, ses péchés, pour permettre ce prodige : J’écoute en 2025 le blues des femmes de 1923.
Voici deux extraits que je relie pour plusieurs raisons, la principale étant l’idée que la forêt est un refuge et une richesse. Le premier est une fiction, le second est autobiographique. Ce qui signifie que tous les deux sont à la fois véridiques et poétiques.
Insupportable à toute cagote normalement constituée. Au fond, c’est pas plus mal. « La France Salafiste » n’aurait guère mieux brillé que « La France Islamiste ».
La réécriture concerne les poètes et les humanistes. Le plagiat concerne les impuissants malhonnêtes. Accuser Boualem Sansal de plagiat, alors qu’il est injustement emprisonné par une junte, et en danger de mort, est stupide et odieux.
J’ai choisi de pas m’emmerder avec les guillemets. Le mot « progrès » est donc, dans ce texte, à prendre avec ou sans, c’est selon. Pour compliquer encore le travail du lecteur, prudence : ironie intermittente. Pour pas se mettre le bulbe à ébullition, il est recommandé aux cons de pas lire.