Benoît Hamon ne sera pas président de la République. Enfin, pas cette fois, puisqu’il ne sera même pas au deuxième tour. Et il le sait. Ou alors, il lui manque une case, ce n’est pas possible autrement.
Vu les tombereaux d’inepties dont nous fûmes abreuvés par des experts autoproclamés de la chose politique ces dernières semaines quant aux « primaires de la Droite et du Centre », j’ai l’honneur (mais oui, je ne rigole pas) de vous proposer ma vision des choses, du haut de mon inexpérience de citoyen, amoureux de plus en plus en veuvage de la démocratie.
La mis en route d'un processus de séparation de la Grande-Bretagne de l'Union européenne dépend du gouvernement et du Parlement britanniques et d'eux seuls. Exclusivement. Le reste n'est que bavardage et communication.
Depuis le « Discours de la méthode » publié par René Descartes (1596-1650) et sous-titré « pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences », on entend dire ça et là que « les Français sont cartésiens ». Depuis que les Britanniques ont majoritairement voté pour le Brexit, on peut en douter.
Je reproduis ici (à peu de choses près) un papier commis par moi sur l'excellent site : http://planetefrancophone.fr
CharlElie Couture revient chez nos disquaires avec un album (CD, vinyl, etc.) le 29 avril 2016 ! Ça s’appelle « Lafayette » pour cause d’enregistrement en Louisiane.
La gauche institutionnelle actuellement au pouvoir et autoproclamée bien-pensante aurait mieux fait de lire à fond « Qui est Charlie ? » d'Emmanuel Todd avant de vouer ce bouquin et son auteur aux gémonies. Elle aurait mieux fait de le lire, dis-je, et peut-être de rectifier le tir de sa politique austéritaire, aveuglément européenne et atlantiste, en deux mots récationnaire et suicidaire.
Nous sommes à la veille d'élections régionales extraordinaires : d'abord, on nous le serine assez, c'est l'état d'urgence (alors qu'il y a des tas et des tas d'autres urgences en face desquelles on ne fait jamais rien...).