Nous avons d'abord vibré de ce Mercosur en quart de finales. Si l'association qui unit les quatre pays du cône sud-américain (Argentine, Brésil, Paraguay et Uruguay) ne brille pas toujours dans la vie réelle, les voir arriver tous au plus haut niveau de la compétition est un hommage au football latino-américain.
Le 28 juin 2009, un coup d'Etat contraignait le président du Honduras Mel Zelaya, démocratiquement élu, à quitter son pays. L'épisode est un sinistre retour en arrière dans une Amérique latine longtemps marquée par les dictatures militaires, et qui en semblait débarrassée depuis les années 1980. Un an après le coup d'Etat, le pays est toujours plongé dans la crise politique, économique et sociale.
Dimanche soir, après la belle victoire du Brésil contre la Côte d'Ivoire - il était temps ! - les téléspectateurs ont vu avec consternation l'entraineur, Dunga, terminer sa conférence de presse en baissant la voix, mais suffisamment pour être entendu de tous, pour insulter Alex Escobar, un journaliste de la chaîne Globo.
La météo prévoit 26 degrés et un soleil radieux pour ce mardi 15 juin à Rio de Janeiro. Une belle journée de fin d'automne, une chance pour les touristes qui auront le bleu, la mer, sans la chaleur estivale. Mais gare à ceux qui auront projeté un après-midi de shopping ce mardi : à partir de 15 heures locales (20 heures françaises), tout sera fermé : banques, supermarchés, pharmacies, magasins d'habits...
Il y a tout juste cent ans, lorsque l’élite argentine s’est retrouvée autour du Cabildo, l’ancien centre du pouvoir à Buenos Aires, pour fêter le premier bicentenaire, l’invitée d’honneur était l’Infante espagnole Isabel de Bourbon. Ce 25 mai 2010, Cristina Kirchner a tenu à rappeler que l’Argentine n’avait plus besoin de la tutelle espagnole.
Le soulagement était visible sur le visage de Luiz Inacio Lula da Silva, ce lundi matin, lorsqu'il pu enfin lever les bras au ciel, entouré de son homologue iranien Mahmoud Ahamadinejad et du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan pour saluer le retour de l'Iran à la table des négociations sur la question nucléaire.
Connu pour ses positions polémiques – notamment en faveur de l’avortement dans un pays où il est toujours interdit, déclenchant la colère de l’Eglise –, le ministre de la santé brésilien, José Gomes Temporão, occupe de nouveau les unes des journaux.