En 2018-2019 a eu lieu dans notre pays le mouvement social le plus intense depuis Mai 68, le plus violement réprimé aussi depuis la guerre d'Algérie : c'est à lui que, sept ans plus tard, Les Braises, premier fiction française qui leur est consacré veut rendre hommage.
Après une journée de blocages et de manifestations plus ou moins sauvages le 10 septembre dernier, c'est une mobilisation plus convenue, à l'appel de l'intersyndicale qui s'est constituée contre la réforme des retraites, qui a eu lieu ce jeudi : elle a compté plus d'un million de manifestant-es, dont des dizaines de milliers sur Paris, dans plus de 250 manifestations recensées dans tout le pays.
Le 10 septembre, date de mobilisation lancée cet été sur les réseaux sociaux, est devenu hier une réalité qui en s'est déjà concrétisée les semaines précédentes par la tenue de centaines d'assemblées citoyennes dans tout le pays puis, ce lundi, de pots de départ de Bayrou, première victoire du mouvement avant même son avènement.
Dans une salle bourrée de quinquas pas bourrés, l'occasion de revoir hier soir à l'EMB Sannois un auteur-compositeur-interprète ce qui est déjà en soi singulier
Je remercie l'Humanité d'avoir publié ma tribune en défense de l'universalité du #1ermai comme jour férié chômé et payé, symbole de la nécessaire réduction du temps de travail.
Des licenciements qui défraient la chronique ? C’est ce qui se passe suite à l’éviction, le 21 mars dernier, de quatre salariés de restauration employés de la société Select Service Partner (SSP), dont certains depuis des dizaines d’années et dépourvus de passif disciplinaire, qui exploitent des points de vente sous enseigne Starbucks et Prêt-à-Manger à l’aéroport de Marignane.
Le mois dernier est paru un ouvrage de moins de 200 pages consacré au célèbre penseur allemand du 19ème siècle, dont le nom est devenu celui d'une idéologie au même titre que le nom de Kafka est celui d’un adjectif, comble de la consécration.