Le blog de Léo Mira

Le fascisme n’a, ni patrie, ni religion, et l’Occident s’en accommode dès lors qu’il défend ses intérêts économiques et financiers.

Et si nos journalistes propagandistes et leurs invités hâbleurs sur les plateaux de télévisons, cessaient de nous berner et allaient s’informer ailleurs qu’à Kiev et Washington ?

Guerre en Ukraine, génocide dans la bande de Gaza, discours guerriers et tensions internationales croissantes, le monde n’en finit pas de se déchirer et de précipiter l’humanité dans le chaos.

À ce jour, le bilan des crimes de guerre d’Israël s’élève à plus de 32 200 morts – dont 67 % de femmes et des enfants – et de 75 000 blessés, sans que cela ne trouble la conscience des vertueux journalistes, officiant dans les médias propagandistes du pays dit des droits de l’homme.

Si les pitreries macronistes peuvent faire rire la terre entière ; si les pantalonnades élyséennes peuvent amuser les incrédules et les inconscients ; les bouffonneries d’un président va-t-en-guerre suivies d’actes irresponsables par leur issue imprédictible, pourraient faire couler des larmes de sang.

Alors que le génocide se poursuit à Gaza, et qu’Israël utilise la famine comme arme de guerre contre le peuple palestinien, Macron invite l’officine de propagande de Netanyahou – le CRIF – à l’Élysée. À Washington en présence de Biden, le Premier ministre irlandais dénonce les bombardements israéliens sur la bande de Gaza.

« Le plus grand mythe sur la Russie est que Poutine est un dictateur hors normes, que la Russie est un enfer absolu et que sa seule opposition est Navalny. » Katya Kazbek

La leçon que le président va-t-en-guerre devrait tirer est : « Il faut nourrir la paix et arrêter d'alimenter la guerre. » (Jean-Pierre Szymaniak), et non de vouloir sacrifier les Français pour défendre les intérêts financiers des multinationales. « On croit mourir pour la patrie ; on meurt pour des industriels. » (Anatole France)

À la dérive, la Macronie – avec l’appui d’une classe politique soumise à l’idéologie néo-libérale et aux intérêts petits bourgeois –, s’en va-t-en-guerre pour faire oublier aux Français ce qu'elle leur fait subir.

Plus de 30 000 morts à Gaza, 25 000 femmes et enfants – des chiffres officialisés par les États-Unis – dont 11 500 enfants.