Organisé depuis 1996, Les Écrans Documentaires s’interroge sur les évolutions du documentaire et tente d’en montrer la diversité. La 28ème édition aura lieu du 14 au 21 novembre à l'Espace Jean Vilar1…
d'Arcueil et au Lavoir Numérique de Gentilly
"La boxe est censée être un sport de combat, mais, en réalité, il y a un rapport assez doux, d’entraide et de solidarité qui s’opère dans une dynamique d’autodéfense au sein d’une communauté."
“Dans mon film, on pourrait croire qu’il existe plein d’images de femmes travaillant à l’usine, alors qu’il n’y en a que très peu. Ça a été mon point de départ dans le travail des archives : chercher des images de femmes à l'usine et des images de femmes dans le quotidien.”
Entretien avec Natan Castay à propos de son film En attendant les robots sélectionné au festival Les Écrans Documentaires. « Le but était de montrer ce qu'Amazon met en place pour nous déshumaniser tout en essayant de reconnecter ces gens-là entre eux, avec une forme d'optimisme et d'humanité. »
“Mes rêves ressemblent beaucoup à des fictions en général et je trouvais qu’apporter une touche de documentaire justement, ça pourrait les ramener à quelque chose de plus concret, de plus intéressant.”
“Je ne voulais pas simplement capturer des images, mais plutôt inciter et inviter les personnes à collaborer avec moi pour raconter leur propre histoire. ”
“Le film m’a permis de me dire que tu dois accepter ton passé pour vivre ton présent tranquillement, tu dois accepter tes précédentes identités pour construire tes nouvelles, tu dois accepter ton désordre et il n’y aura pas d’ordre sans désordre.”
“Toute ma vie j’ai été témoin du mal être de ma maman, de son décalage face aux autres personnes belges. C’était important pour moi de sauvegarder cela par le biais du film.”
“Avec ce documentaire, on a réussi à garder une mémoire de cette voiture qui est, pour beaucoup, le symbole d’une époque. Beaucoup de gens ont fait plein de choses avec ces voitures : des voyages, des rencontres, etc. Ils sont nostalgiques même s’ils sont aussi contents que le Maroc évolue.”
"Avec [les résidents], on a cherché à construire ensemble un vocabulaire où chacun pouvait rentrer dans le film comme acteur et non pas comme sujet de documentaire. On voulait que la caméra ne soit pas intrusive." Hadrien Roussier et Clément Mossaz