Le système mafieux est le stade ultime du capitalisme avant qu’il ne sombre. Car il faut qu’il périsse et le plus tôt sera le mieux.
Obéissant au dogme stupide de « la croissance infinie dans un monde fini », à l’enrichissement exponentiel d’une minorité de multi-milliardaires, il conduit inexorablement l’humanité à sa disparition.
Trump a reçu son ami Netanyahu et lui a proposé de déporter les palestiniens vers l’Egypte et la Jordanie et de faire de Gaza, une « nouvelle Riviera ».
L’entrepreneur de BTP est au pouvoir !
Le lundi 27 janvier 2025, l’armée rouge, entre dans ce qu’il reste du camp d’Auschwitz.
C’était l’usine de « nettoyage » des « nuisibles » qu'étaient les juifs du monde entier pour les nazis.
Le « pyrénéen » est allé faire des promesses aux mahorais qui ont bien compris que ce n’étaient que des promesses.
Elizabeth Borne interpellée poliment par deux enseignants, n’a pas su leur répondre autrement que la bouche en sciure et, coincée par les deux hommes qui demandaient autre chose que de la langue de bois, elle leur a tourné le dos en rompant-là ! Non, mais !
C’est d’abord le titre d’un roman d’A.Camus, où les personnages principaux sont tourmentés et en quête de rédemption. Soit, la condition humaine vue par ce théoricien de « l’absurde ».
C’est aussi le titre d’un film sur la fin d’Adolf Hitler par Hirshbiegel en 2004.
Chaque jour, sans que nos gouvernements occidentaux s’en émeuvent en rompant leurs liens avec l’état-voyou d’Israël, on apprend qu’il y a eu des bombardements et que les morts s’ajoutent aux morts, que les ruines s’ajoutent aux ruines et que la guerre tend vers l’infini ou l’éternité ce qui me plonge dans la honte à cause de notre complicité bien involontaire.
Je suis né en mai 1943. Soit, le « tournant » de la IIe Guerre mondiale, l’armée rouge venait de vaincre l’invincible armée nazie à Stalingrad. Chut ! Comme le rappelait un article récent du Monde Diplomatique, les générations contemporaines sont persuadées que ce sont les armées anglo-saxonnes et canadiennes qui ont mis le nazisme à bas.