Tous les chefs d’Etat de l’Europe auraient dû rendre hommage aux combattants de Stalingrad qui marque le tournant de la Seconde Guerre mondiale.
(Pas entendu parlé à cette heure)
Allons bon ! Ils seraient quasiment des nantis, des salauds d’exploiteurs, des vampires suçant le sang de leurs enfants et de leurs petits enfants. Non ! Mais ça ne va pas les gars !
Décidément, je me régale dans la mesure où j’ai l’impression de vivre une époque historique formidable. Et l’autre, le Fukuyama qui parlait de la fin de l’Histoire…
Enfin ! En ce qui me concerne.
Bon ! On a quand même eu Thomas Pesquet qui fait honneur à l’humanité en lui prouvant que nous sommes tous d’heureux veinards, habitant sur une très belle planète bleue, mais sacrément fragile depuis que le capitalisme s’est imposé à tous.
Une des caractéristiques de l'espèce animale humaine qui encombre la petite planète Gagaïa, c'est sa croyance en la toute puissance du fric, du flouze, de la tune, du pèze, du blé et j'en passe.
Les bons choix de nos zélus de plus en plus irresponsables, parce que gangrenés par le St Flouze, nous donnent une belle leçon de folie collective que Erasmus aurait appréciée à sa juste valeur.
A l’heure où l’on se pavane et où l’on se projette vers le métavers, soit le monde virtuel en trois dimensions et deux coups de pompe, il faut avouer que ce capitalocène relève de la ‘pataphysique.