Le harcèlement scolaire n’est pas un fait divers : c’est un drame quotidien. En tant qu'enseignante engagée, je reviens sur les silences, les blessures invisibles, et l’urgence d’un changement profond dans l’institution.
Le décrochage scolaire ne commence pas au lycée : il s’insinue dès l’enfance. Une réalité silencieuse que l’école peine à voir — et encore plus à prévenir.
Des avis négatifs, pourtant authentiques, disparaissent de Google Maps. Derrière cette censure discrète, une question s’impose : les étoiles reflètent-elles encore la vérité ?
Sous ses multiples visages – financier, culturel, linguistique ou affectif – la pauvreté façonne les parcours scolaires bien plus qu’on ne l’admet. À l’heure où l’école se veut inclusive, il est urgent de penser une pédagogie qui reconnaisse et répare ces inégalités invisibles.
L’inclusion scolaire est un pilier affiché de notre système éducatif, mais sa mise en œuvre reste fragile. Ce billet interroge, à partir du terrain, ce que signifie vraiment "inclure" à l’école.
À l’heure où l’institution scolaire est sommée de répondre à des enjeux toujours plus complexes — inclusion, décrochage, violences, épuisement des personnels — une notion essentielle reste trop souvent reléguée aux marges : l’empathie. Et si cette capacité à comprendre l’autre dans sa fragilité était la clé d’une école véritablement humaine et juste ?
Issue d’un quartier populaire, je suis devenue professeure et autrice après un long chemin personnel et spirituel. Dans ce billet, je raconte pourquoi la foi ne peut se limiter à une transmission passive. Pour être croyant.e, il faut d’abord chercher, comprendre, et oser questionner.