Enseigner à un élève atteint du syndrome de Gilles de la Tourette m’a appris à adapter, écouter et accueillir autrement. Ce témoignage partage des clés simples pour une inclusion réelle en classe.
Derrière les fermetures de classes se cachent des choix politiques aux conséquences profondes : surcharge des effectifs, décrochage silencieux, territoires oubliés. Loin d’être une simple question de chiffres, c’est l’avenir de l’école publique qui se joue, à bas bruit.
Longtemps décrié, le redoublement a été marginalisé au nom de la bienveillance scolaire. Pourtant, dans certains cas, il demeure un levier de réussite et de réparation. Plutôt que de l’écarter par principe, ne faudrait-il pas le repenser avec intelligence et équité ?
Faut-il raccourcir les congés scolaires pour mieux faire réussir les élèves ? Derrière cette idée en apparence logique se cache une méconnaissance des vrais besoins des enfants et des inégalités sociales.
Les dispositifs de remédiation sont essentiels pour une école inclusive. Forte d’une longue expérience sur le terrain, Meryam Ennouamane Jouali dénonce leur fragilité face au manque de moyens et de personnels.
L’école ne peut plus se contenter d’ajustements. Face aux inégalités et à la diversité des parcours, il devient urgent de repenser ses fondements et ses pratiques.
À 6 ans, il avait déjà un smartphone. À l’école, il ne regardait plus le tableau… mais l’écran. Ce texte interroge la place grandissante des téléphones portables dès le plus jeune âge, et l’urgence de préserver l’école comme un espace de présence, d’attention et de lien humain.
Le 0/20 n’évalue pas, il humilie. Dans mon quotidien de professeure et coordinatrice, je vois comment cette note casse des élèves déjà fragiles. Il est temps d’en repenser le sens.
Face au laisser-aller vestimentaire observé dans nos établissements, le port d’une tenue scolaire commune apparaît comme une solution concrète pour restaurer le respect, l’égalité et la concentration à l’école.