Journaliste scientifique, j'ai travaillé à Science et Vie, à L'Evénement du Jeudi, et au Nouvel Observateur (de 1990 à 2009). Je suis aussi auteur de plusieurs livres dont le dernier, Kaluchua, vient de paraître au Seuil. Sur twitter: @MicheldePrac.
Le Tyrannosaurus Rex, familièrement appelé T. Rex ou, à l’américaine, T-Rex (avec un trait d’union abusif), a été la star du film Jurassic Park de Steven Spielberg. Grosse tête, dents énormes, courtes pattes avant et peau de lézard, l’aspect de la bête est très typé : plus que tout autre espèce, le T. Rex mérite ce nom de dinosaure, qui signifie étymologiquement «lézard terrible».
On l’aurait presque oublié, l’événement initiateur de la catastrophe de Fukushima était le séisme exceptionnel de la côte pacifique du Tohoku, de magnitude 9, qui a frappé le nord-est du Japon le 11 mars 2011 et a provoqué un tsunami dévastateur.
Si, en entrant dans un immeuble, vous constatez que vous êtes suivi par une sorte de gros moineau au vol un peu saccadé, deux hypothèses : a) vous avez consommé une substance hallucinogène ; b) le plus petit avion espion du monde est sur votre trace.
La réponse est bien connue : Jean-François Champollion (1790-1832) a percé le secret de l’écriture égyptienne en se servant de la triple inscription de la pierre de Rosette. Si cette assertion est globalement juste, elle résume un ensemble de faits beaucoup plus complexe qu’on ne le croit généralement. Le déchiffrement des hiéroglyphes dans les années 1820 ne se résume pas à l’éclair de génie d’un Champollion qui aurait tout compris d’un coup en confrontant les versions égyptienne et grecque d’un même texte.
Quelles que soient les difficultés actuelles de l’Europe, elles ne sont rien comparées à ce qui menace notre continent d’ici une centaine de millions d’années : il devrait purement et simplement disparaître, selon les prévisions d’un nouveau modèle de tectonique présenté dans la revue britannique Nature.
Selon Aristote, «l'homme diffère des autres animaux en ce qu'il est le plus apte à l'imitation». Cela ne signifie pas pour autant que les animaux soient incapables d’imiter. Une équipe de dauphins du delphinarium Planète Sauvage, à Port-Saint-Père, près de Nantes, vient d’en apporter une brillante démonstration.
Utiliser les nouvelles techniques d’imagerie cérébrale pour comprendre comment agissent les substances hallucinogènes : c’est le projet original de l’équipe de Robin Carhart-Harris, chercheur à l’unité de neuropsychopharmacologie du Collège Impérial de Londres.