Le recul de l'état de droit est marqué par l'impossibilité, pour certaines personnes frappées d’illégitimité en raison de leur catégorie sociale, d’accéder à leurs droits.
Corruption, clientélisme et népotisme ont remplacé la justice.
Comme le permet l' ARTICLE 431-1, j'ai adressé avec un collectif de victimes de harcèlement en réseau et harcèlement électromagnétique, une lettre au défenseur des droits et au président de la république sur cette thématique.
Notre volonté est d'informer au maximum, car plus cette problématique sera connue ET nommée, et plus des solutions aussi bien politiques que juridiques, y seront apportées.
Le harcèlement en réseau est une metaconstruction visant à cibler un individu, et le faire persécuter par un ou plusieurs groupes d’individus constitués en réseaux. Cela fonctionne exactement sur le même mode que celui du « contrat » dans la mafia, bien plus que sur celui du complot.
Le harcèlement en réseau vise une restriction des libertés individuelles et des capabilités (possibilité d'exercer un droit effectif) des individus ciblés.
La voie de psychiatrisation, est souvent l'aboutissement de ce cette méta-construction qu'est le harcèlement en réseau, un encerclement progressif et protéiforme
J'ai trouvé le jeu de mot assez sympa, puisque dorénavant, je tiendrai ce blog en ma qualité d'auteur (Eugénie Lobe) sans plus passer par un pseudo ou un personnage.
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Ou comment devient-on une citoyenne, progressivement privée de droits, dans un état démocratique."
Témoignage de Sophie*, sur son expérience de cible d'un harcèlement criminel en réseau.
La phrase n'est pas affirmative. Plutôt interrogative et dubitative, d'où les 3 petits points...
J'attends des réponses au regard du traitement discriminatoire dont j'ai fait l'objet, ces derniers temps et la situation de citoyenne de non-droit dans laquelle on semble m'avoir catalogue.