Dernier billet sur l’accès à l’ACSH pour le traitement de la SEP. J’ai persisté dans mes efforts de publications jusqu’à ce qu’il m’apparaisse qu’il ne me sera pas possible de faire mieux, ni davantage, du moins via ce blog. Ce 8ème billet en forme de bilan, plus personnel que les précédents, pour expliquer l’ancrage expérientiel de mon engagement, des acquis, un échec et des perspectives.
Par Noëlle Tassy
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Nous sommes 13 personnes souffrant de sclérose en plaques progressive et, avant la fin de cette année, nous aurons tous bénéficié d’un traitement par cellules souches en Allemagne. Qui sommes-nous ? Pourquoi partons-nous ? Quel protocole allons-nous recevoir ? Comment nous sommes-nous organisés pour fiabiliser notre démarche, être aidés et nous entraider ? Les réponses dans ce billet.
Par Noëlle Tassy
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Parmi les objectifs de la Journée Mondiale de la Sclérose en Plaques figure celui-ci : « Faire pression sur les décideurs pour de meilleurs services et un traitement efficace pour les personnes atteintes de SEP ». Comment ne pas y voir une invitation à faire le point sur le si difficile accès des malades au meilleur traitement actuellement disponible : l’autogreffe de moelle osseuse ?
Depuis la mise en place des mesures de confinement anti-Covid 19, les témoignages anxieux se multiplient et les questions fusent : comment faire face à cette situation inédite ? Supporter l’enfermement ? Éviter la folie ou la neurasthénie ? Pourtant, partout dans le monde, des centaines de milliers de personnes réussissent chaque jour et indéfiniment cet exploit, sans en faire tout un plat.
La série de 5 billets "Autogreffe de moelle osseuse pour le traitement de la sclérose en plaques : point de discorde entre malades et neurologues" propose d’aborder les principales entraves à l’accès des patients-SEP à l’ACSH, en Occident et plus précisément en France. N°1 : Où les forces en présence sont introduites, leurs désaccords explicités et la finalité des billets précisée.
La série de 5 billets "Autogreffe de moelle osseuse pour le traitement de la sclérose en plaques : point de discorde entre malades et neurologues" propose d’aborder les principales entraves à l’accès des patients-SEP à l’ACSH, en France et plus largement en Occident. N°2 : Où l’on comprend le caractère disrupteur de l’ACSH en neurologie, repère les forces en présence et s’affranchit des confusions
La série de 5 billets "Autogreffe de moelle osseuse pour le traitement de la sclérose en plaques : point de discorde entre malades et neurologues" propose d’aborder les principales entraves à l’accès des patients-SEP à l’ACSH, en Occident et plus précisément en France. N°3 : Où l’on est convaincu de la supériorité en tous points de l’ACSH.
La série de 5 billets "Autogreffe de moelle osseuse pour le traitement de la sclérose en plaques : point de discorde entre malades et neurologues" propose d’aborder les principales entraves à l’accès des patients-SEP à l’ACSH, en Occident et plus précisément en France. N°4 : Où l’on conçoit qu’organiser de nouveaux essais cliniques est scientifiquement inutile et éthiquement inacceptable.
La série de 5 billets "Autogreffe de moelle osseuse pour le traitement de la sclérose en plaques : point de discorde entre malades et neurologues" propose d’aborder les principales entraves à l’accès des patients-SEP à l’ACSH, en Occident et plus précisément en France. N°5 : Où l’on comprend les difficultés d’obtention des indications thérapeutiques en Occident et leurs conséquences.
L’autogreffe de moelle osseuse est aujourd’hui la procédure la plus efficace pour faire entrer durablement en rémission les 3 formes les plus connues de sclérose en plaques (SEP) : rémittente, secondaire progressive et primaire progressive.
Qu’est-ce que l’autogreffe ? Comment agit-elle sur la SEP et avec quels résultats ? C’est ce que ce billet en forme de plaidoyer pro-ACSH propose d'aborder.