En cette Journée Mondiale de la sclérose en plaques, il est proposé d’examiner les travaux récents de médecins-chercheurs qui présentent les expériences d’ex-patients que l’autogreffe a libéré et continue de libérer de la SEP, très souvent de ses handicaps et de ses traitements de fond, depuis parfois deux décennies. Des éclairages inédits qui interrogent le caractère incurable de cette maladie.
En 2023, 401 patients-SEP autogreffés ont participé à une étude-plaidoyer destinée à bâtir des connaissances à caractère à la fois scientifique et militant sur leur expérience avant, pendant et après la procédure. D’abord présentés au sein la communauté scientifique, les résultats sont à mis à disposition des malades francophones via ce billet pour contribuer à leurs choix thérapeutiques éclairés.
Par Noëlle Tassy
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Nous sommes 13 personnes souffrant de sclérose en plaques progressive et, avant la fin de cette année, nous aurons tous bénéficié d’un traitement par cellules souches en Allemagne. Qui sommes-nous ? Pourquoi partons-nous ? Quel protocole allons-nous recevoir ? Comment nous sommes-nous organisés pour fiabiliser notre démarche, être aidés et nous entraider ? Les réponses dans ce billet.
Par Noëlle Tassy
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Parmi les objectifs de la Journée Mondiale de la Sclérose en Plaques figure celui-ci : « Faire pression sur les décideurs pour de meilleurs services et un traitement efficace pour les personnes atteintes de SEP ». Comment ne pas y voir une invitation à faire le point sur le si difficile accès des malades au meilleur traitement actuellement disponible : l’autogreffe de moelle osseuse ?
Depuis la mise en place des mesures de confinement anti-Covid 19, les témoignages anxieux se multiplient et les questions fusent : comment faire face à cette situation inédite ? Supporter l’enfermement ? Éviter la folie ou la neurasthénie ? Pourtant, partout dans le monde, des centaines de milliers de personnes réussissent chaque jour et indéfiniment cet exploit, sans en faire tout un plat.
La série de 5 billets "Autogreffe de moelle osseuse pour le traitement de la sclérose en plaques : point de discorde entre malades et neurologues" propose d’aborder les principales entraves à l’accès des patients-SEP à l’ACSH, en Occident et plus précisément en France. N°1 : Où les forces en présence sont introduites, leurs désaccords explicités et la finalité des billets précisée.
La série de 5 billets "Autogreffe de moelle osseuse pour le traitement de la sclérose en plaques : point de discorde entre malades et neurologues" propose d’aborder les principales entraves à l’accès des patients-SEP à l’ACSH, en France et plus largement en Occident. N°2 : Où l’on comprend le caractère disrupteur de l’ACSH en neurologie, repère les forces en présence et s’affranchit des confusions
La série de 5 billets "Autogreffe de moelle osseuse pour le traitement de la sclérose en plaques : point de discorde entre malades et neurologues" propose d’aborder les principales entraves à l’accès des patients-SEP à l’ACSH, en Occident et plus précisément en France. N°3 : Où l’on est convaincu de la supériorité en tous points de l’ACSH.
La série de 5 billets "Autogreffe de moelle osseuse pour le traitement de la sclérose en plaques : point de discorde entre malades et neurologues" propose d’aborder les principales entraves à l’accès des patients-SEP à l’ACSH, en Occident et plus précisément en France. N°4 : Où l’on conçoit qu’organiser de nouveaux essais cliniques est scientifiquement inutile et éthiquement inacceptable.
La série de 5 billets "Autogreffe de moelle osseuse pour le traitement de la sclérose en plaques : point de discorde entre malades et neurologues" propose d’aborder les principales entraves à l’accès des patients-SEP à l’ACSH, en Occident et plus précisément en France. N°5 : Où l’on comprend les difficultés d’obtention des indications thérapeutiques en Occident et leurs conséquences.