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Je cherchais un mot de sens proche de certaines acceptions de “œcuménique” et “tolérant”, mais moins connoté. Et le mot “latitudinaire” a émergé de ma mémoire. Étrange pour moi car il ne fait pas partie de mon vocabulaire, en fait je ne me souviens pas l'avoir jamais employé, et ne connaissais même pas sa définition, ses acceptions.
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Il y a un bout de temps que j'ai compris un truc sans avoir besoin de consulter le texte de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse: il s'agit d'une liberté de publication et non d'une liberté d'information. Ça concerne avant tout les éditeurs et imprimeurs et non le seul secteur limité des périodiques dits de presse et ce qui s'y publie.
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Les journalistes sont comme tous les autres humains, ils développent une anthropologie spontanée qui a sa propre logique, différente de la logique qui sous-tend la démarche scientifique. La sociologie suit la logique scientifique, ce qui permet de faire la part entre ce qui ressort de l'observation et ce qui ressort du mythe dans les anthropologies spontanées. Ou devrait le permettre.
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Les journalistes sont comme tous les autres humains, ils développent une anthropologie spontanée qui a sa propre logique, différente de la logique qui sous-tend la démarche scientifique. La sociologie suit la logique scientifique, ce qui permet de faire la part entre ce qui ressort de l'observation et ce qui ressort du mythe dans les anthropologies spontanées. Ou devrait le permettre.
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Des experts il y en a de toute sorte. La plupart, on sait en quoi ils son experts, y compris les experts polyvalents tels que ceux des diverses séries télé de ce nom où l'équipe en son entier est experte dans bien des domaines mais où chacun a ses propres compétences dans un, deux, parfois trois domaines bien déterminés. Mais, de quoi est experte une entreprise de “consulting“?
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Voilà une chose que je ne sais ni, le saurais-je, ne veux faire, mais il m'arrive de rapprocher des lignes éparpillées dans plusieurs discours, ou des faits et des dits censément disjoints.
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J'ai mon opinion là-dessus, une opinion mitigée. Ce fut l'objet de débats entre Ma Pomme et une défunte abonnée de Mediapart.
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Je me relis rarement, sinon juste après rédaction pour corriger les expressions maladroites, les erreurs de syntaxe et d'orthographe, les coquilles. Mais parfois je le fais à l'occasion d'une recherche d'un passage que je compte citer parce qu'il m'évite d'écrire de nouveau ce que déjà écrit. Et très rarement, y trouvè-je certains passages dignes d'être repris comme textes autonomes.
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Comme dirait ma sœur, je suis une personne basique, et en tant que telle m'intéresse surtout aux phénomènes, négligeant les noumènes sinon dans mes conversations avec des personnes non basiques, pour tenter de (et parfois pour parvenir à) m'entendre avec elles. Ma réponse basique est donc: transformer de la matière en énergie ou/et de l'énergie d'une certaine forme en énergie d'une autre forme.
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Les livres d'occasion sont certes l'occasion de lire un livre acheté à prix modique mais parfois aussi l'occasion de découvrir l'inattendu.
