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Nous pouvons toujours nous lamenter d’avoir perdu une élection, cela ne changera pas grand à ce qui est. L’élection n’est pas de l’arithmétique ou du calcul de votes qui pourraient basculer dans un sens ou un autre. La conviction intime n’est pas quantifiable.
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La démocratie est piétinée et tous les crédules trouvent ça normal. Vivre avec la peur ou plutôt consommer avec la peur, car cette consommation reste la seule boussole qui semble guider ce Gouvernement-bateau-ivre, avec son sinistre petit capitaine
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Difficile de rester concentré, face aux décisions absurdes et cumulées d’un gouvernement devenu bateau ivre. Dans cette situation extraordinaire d’une pandémie qui n’en fini plus, ils trouvent encore le moyen de nous surprendre, sans pour autant nous amuser. Mais jusqu’où iront-ils ?
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Le pouvoir politique et ses partisans gonflent les polémiques et profitent de l’émotion provoquée par un nouveau crime monstrueux. Cette lamentable fourberie, cette diversion bien pratique évite ainsi de débattre du fond des problèmes, pendant que les humanistes de tous bords sont désunis, s’écharpent et se disputent à propos de la liberté d’expression ou de l’intolérance.
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La France Insoumise et Jean Luc Mélenchon invitent les insoumis à donner leur avis sur une éventuelle candidature en 2022. Cette alerte n'a que le but de créer un débat. Soyons fous, osons autre chose, pour une fois.
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D’aucun, comme moi, se demandait depuis lundi 16 mars dernier - et les annonces du Gouvernement -, quand et comment, ils nous feraient payer les milliards soudainement trouvés, pour faire face à la crise sanitaire.
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Et si nous incitions le peuple, à refuser le jeu de cette mauvaise démocratie ? Une sorte de campagne électorale pour l'abstention, avec une grande majorité d'électeurs qui décidaient de ne plus voter lors de la prochaine élection présidentielle, mais se mobilisaient pour les législatives. Une abstention telle, que le président élu n’aurait pas la moindre crédibilité.
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Déshumaniser tous les pans de la société conduit inévitablement ce pays au fascisme, même sous une forme ouaté. L’empathie a disparue, il n’y a plus le moindre caractère d’humanisme dans le rapport entre le gouvernement, les administrations et les citoyens. Ne parlons pas de la Police qui voudrait se faire aimer par un peuple sur lequel elle tape avec sauvagerie à chaque manifestation.
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Bon aller, « viendez ma bande ! » maintenant on prend le problème à bras le corps. C’est décidé et tout va changer. En marche ! Le climat, c’est trop grave et les chercheurs nous ont prévenu… on change tout… Oui mais… pas maintenant... Attendons encore un peu. Et la croissance alors ? Et les actionnaires alors ?…
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