Regard libertaire sur le "langage marchand" comme vitrine du capitalisme : pub, médias, industries culturelles
Critiques et décryptages.
Blog : https://unefiguedanslavitrine.blogspot.fr/
Mes enfants sont au collège et au lycée. Durant ces années, il et elle vivent et vivront des expériences humaines, sentimentales, parfois sexuelles. Des expériences passionnées, importantes, qui peuvent aussi être violentes et traumatisantes. Voici la lettre que j'ai envoyée à leurs établissements scolaires.
Elle est intéressante l'expo sur Fela, même pour moi qui ai découvert l'artiste en 1989 et qui ai suivi son parcours. Mais je m'interroge sur les mythes "officiels" qu'on propage sur lui. Vous aussi vous vous questionnez sur le statut de l'artiste rebelle ?
Suite au démantèlement d'un camp à Pantin (93), début mai, une centaine de personnes réfugiées s'est installée aux portes de Paris. Mais dans quelle situation d'urgence, et avec quel avenir ? Les pouvoirs publics doivent exercer leur responsabilité.
Suite au démantèlement du camp du Cheval Noir à Pantin, il y a un mois, quelques dizaines de personnes réfugiées cherchent des abris dans des conditions précaires. La solidarité s'organise. Mais quel est le rôle des pouvoirs publics ?
L'immense camp du "Cheval noir", à Pantin, a été démantelé, et les réfugiés enfin "mis à l'abri". Mais pour où ? Quelle responsabilité pour l’État et les territoires ?
À Pantin en Seine-Saint-Denis, de jeunes Afghans sont rassemblés dans un camp de fortune. Leur nombre enfle chaque semaine sans qu'aucune autorité ne les protège. Alors que 400.000 locaux institutionnels sont vides en Île-de-France, leur mise à l'abri par la préfecture est une urgence ! Depuis des mois aux côtés de ces réfugiés, le collectif Pantin Solidaire a appelé à manifester ce dimanche.
Je viens d'une époque où la télé diffusait un strip-tease le samedi à 20h pour remonter le moral des mecs. Une époque où le mot sida était une source de blagues salaces. Une époque où Leeb faisait rire en imitant les visages des noirs et où Lagaf' chantait la zoubida.
On appelait ça la liberté d'expression.