Un monde meilleur sera un monde dans lequel on travaillera mieux. Alors il faut en parler, avec de la considération pour l'engagement des personnes dans leur travail, en prenant la mesure de l'utilité1…
sociale de ce qu'ils font.
Il faut une immense quantité de travail pour organiser un évènement comme le Salon de l’agriculture. Mais ceux qui s’intéressent au travail agricole devront aller voir ailleurs…
Manger, activité banale s’il en est, répétée inlassablement, je vous le souhaite en tout cas. De quoi en faire une exposition ? Celle en cours au Musée de l’Homme est passionnante à bien des égards, et m’a particulièrement intéressé par ce qu’elle donne à voir du travail humain.
Pour considérer autrement le travail dans notre monde, il est toujours utile d’aller voir ailleurs, loin des évidences. Une exposition du musée du quai Branly fait résonner des bruits d’un autre monde : le martèlement des pièces métalliques sur l’enclume, le grondement du fourneau, non pas dans des usines sidérurgiques, mais dans de modestes forges en Afrique.
Que se passe-t-il lorsqu’une personne « en activité » part « en retraite » ? Une question vive de l’actualité, que l’on a envie de regarder de près lorsque l’on s’intéresse à ce que chacun a à dire de son travail.
Jusqu'où aller pour bien faire son travail ? Un cas extrême que ce photographe de guerre contraint de participer à des exactions, mais qui donne à penser tant ces dilemmes moraux sont constitutifs de tout travail.
Comment se fait-il que les personnes au travail, donc au cœur du fonctionnement de la société, soient relégués dans d'obscurs recoins par des discours médiatiques ? Qui est invisible pour qui ?