
Paul Alliès
Professeur Emérite à l'Université de Montpellier. Doyen honoraire de la Faculté de Droit. Président de la Convention pour la 6° République (C6R).
Montpellier - France
Sa biographie
Né le 8 juin 1945. Professeur émérite de science politique à la Faculté de Droit de Montpellier. Délégué auprès des services culturels de l'Ambassade de France en Italie (Adjoint au Directeur de l'Institut Français de Naples) en 1985. Doyen de la Faculté de Droit de Montpellier de 1989 à 1995. Fondateur1…
du CEPEL (UMR CNRS) en 1987. Directeur de la revue Pôle Sud. Responsable de la Jeunesse Etudiante Chrétienne à Montpellier en 1965, puis de la LCR. Adhésion au Parti Socialiste en 1986. Conseiller municipal de Pézenas de 1989 à 2001. Secrétaire de la section socialiste de cette ville. Conseiller régional du Languedoc-Roussillon de 1999 à 2004 et à nouveau en 2008. Membre du Conseil National du PS de 2003 à 2018. En 2001 membre-fondateur de la Convention pour la 6° République (C6R) avec Arnaud Montebourg. Président de la C6R depuis novembre 2009.
Son blog
660 abonnés
UNE AUTRE REPUBLIQUE EST POSSIBLE
Ses éditions
- suivie par 125 abonnés Changer de République
1 / 2
- 330 billets
- 2 éditions
- 11 articles d'éditions
- 0 portfolio
- 0 lien
- 0 événement
- 458 contacts
Ses billets de blog
Voir tous-
La crise de régime continue
La Convention pour la 6° République vient d'adopter un texte analysant les causes de la crise ouverte par le Premier ministre. Il ne s'agit pas d'une crise gouvernementale de plus, mais bien d'une crise de régime qui se prolonge. Il existe des voies pour en sortir. -
Droit de pétition, Robespierre : mémoire et hommage
Ce lundi 28 juillet est le jour de la 231° année de la mort de Robespierre. C'est l'occasion de lui rendre hommage pour le combat qu'il a mené à l'Assemblée constituante en 1791, en faveur du droit de pétition. Sa mise en oeuvre pour l'abrogation de la loi Duplomb est aussi un travail de mémoire. -
Encore un effort, Monsieur de Villepin
Dominique de Villepin publie un ouvrage peu banal qui tranche par son style et une volonté de « dire Non » à la « déformation de l'idée républicaine ». Il y traite de la « dérive des institutions » vers un présidentialisme mortifère. Diagnostiqué en regard d'un gaullisme des origines, cette analyse mériterait d'être poussée jusqu'à son terme constitutionnel. -
Oradour : un anniversaire et un repère
Voici 81 ans le 10 juin 1944, avait lieu le massacre d'Oradour-sur-Glane, perpétré dès après le Débarquement des Alliés, par la 2° Division Das Reich. L'effroi provoqué fut à la hauteur d'un crime de masse de populations civiles, tout spécialement infantiles. Un repère toujours essentiel. -
Le Pen, les institutions, la suite
Le déchainement des soutiens de Le Pen après sa condamnation, a de quoi inquiéter ceux et celles, jusque là plutôt rassurés par la banalisation du RN. Et si celle-ci était aussi un produit des institutions de la V° République ? Leur défense ne serait-elle pas un leurre, source de grande confusion pour la suite ?
Ses articles d'édition
Voir tous-
Édition Changer de République
L’Or du RIP
Voici donc lancée la campagne du Référendum d’Initiative Partagée (RIP). Est-elle un « joli coup » pouvant amplifier les difficultés politiques d’Emmanuel Macron ? Ou un simple leurre voué à l’échec ? Ou les deux à la fois ? -
Édition PS: Bon gré, congrès
« Changer à gauche pour changer la France», version Hérault.
C'est le titre de la motion dont la première signataire est Martine Aubry. On trouvera ci-dessous le résumé qu'en ont fait les signataires de la Fédération de l'Hérault du PS et qui sera diffusée ce mercredi soir pour l'assemblée générale des motions à Montpellier. -
Édition Changer de République
Contributions socialistes à la réforme de la République
Venant de terminer la lecture des contributions publiées par le Parti socialiste dans la perspective de son congrès de Reims, je livre ici une brève analyse de leur contenu en matière institutionnelle. Elle peut intéresser tous ceux, socialistes ou non qui considèrent que la réforme de la République est un enjeu majeur. -
Édition Changer de République
Le mépris du peuple constituant
Dans la tradition de l’Etat de droit, on considère que si le pouvoir constituant originaire appartient au peuple, ses représentants peuvent l’exercer librement, notamment quand il s’agit d’une réforme du texte de la loi fondamentale selon une procédure fixée par celle-ci. Mais le rapport doit rester constant à cette source de légitimité populaire qui fonde la Constitution. -
Édition Changer de République
Constitution: beaucoup de bruit pour rien
Voici un an presque jour pour jour que Nicolas Sarkozy a lancé un processus de révision d’une trentaine d’articles de la Constitution qui devait changer la nature du régime.