Par Paul Cassia
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Les tergiversations nées de la démission de Gérard Collomb le 2 octobre et le non-événement que constitue le remaniement du 16 octobre portent de nouveaux coups à la crédibilité des décideurs publics nationaux.
Par Paul Cassia
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Le 4 octobre 2018, la Cour de justice européenne a, pour la première fois, condamné un Etat membre – la France – parce que l’une de ses juridictions suprêmes – le Conseil d’Etat – a méconnu le droit de l’Union. Pour le plus grand profit des multinationales concernées, susceptibles de récupérer 5 milliards d'euros au détriment des finances publiques en 2019-2020.
Par Paul Cassia
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Le 60ème anniversaire de la Constitution du 4 octobre 1958 n'est pas l'occasion de célébrations officielles publiques. Peut-être parce qu’il n’y a pas lieu de ce réjouir de la permanence d’un régime qui fait payer la stabilité institutionnelle à un prix élevé en termes démocratique et d’équilibre entre les pouvoirs.
Par Paul Cassia
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L’audition le 19 septembre 2018 d’Alexandre Benalla par la commission d’enquête du Sénat interroge sur la stratégie de dramatisation employée par l’exécutif dans les jours qui l’ont précédée.
Par Paul Cassia
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Le décret du 3 août 2018 par lequel l’exécutif a allongé la liste des emplois à la décision du gouvernement paraît avoir été taillé sur mesure pour l’écrivain Philippe Besson. En conséquence, sa légalité peut être sérieusement questionnée.
Le scandale né du comportement individuel d’Alexandre Benalla le 1er mai 2018 et de ses répercussions institutionnelles est devenu une affaire d’Etat par les mensonges dans lesquels les plus hautes autorités publiques se sont embourbées. Il est aussi une « affaire d’Etat de droit » en ce qu’il invite à repenser la séparation des pouvoirs à la française.
Par Paul Cassia
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Une année après sa publication le 21 août 2017 sur le site de l’Elysée, un bilan négatif peut être tiré de la charte de transparence relative au statut du conjoint du chef de l’Etat.
Par Paul Cassia
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Le 3 mai 2018, le directeur de cabinet du président de la République a décidé de suspendre M. Benalla de ses fonctions pour 15 jours. Cette décision sans conséquence sur la rémunération de l’intéressé n’est pas une sanction disciplinaire, mais une simple mesure de gestion administrative prise dans l’intérêt du service.
Par Paul Cassia
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S’il est impossible « d’aller chercher » le président de la République, ses collaborateurs sont tenus de déférer aux convocations des commissions d’enquête parlementaires. Elles disposent de pouvoirs d’investigation sur l’organisation interne à l’Elysée, sous certaines réserves.