Par l’indomptable originalité de sa peinture, Bouvy Enkobo donne une visagéité troublante et poétique aux minorités condamnées à l’exil, absentes de la plupart de nos musées.
Par l’indomptable originalité de sa peinture, Bouvy Enkobo donne une visagéité troublante et poétique aux minorités condamnées à l’exil, absentes de la plupart de nos musées.
Par l’indomptable originalité de sa peinture, Bouvy Enkobo donne une visagéité troublante et poétique aux minorités condamnées à l’exil, absentes de la plupart de nos musées. À découvrir à la galerie Anne de Villepoix.
Timothy Archer propose une peinture dionysiaque et libertaire à rebours de l’esprit notre temps. Un mélange de Combas et de CoBrA sur fond d’expressionnisme et de Street art. Un pari intempestif à ne pas rater !
Pour sa première exposition personnelle à la prestigieuse Galerie Anne de Villepoix, l’artiste d’origine togolaise, Atsoupé nous livre une magnifique leçon de peinture. Elle a su transfigurer sa jeunesse passée dans des pays d’Afrique ravagés par la guerre, et en tirer des portraits témoignant d’une épreuve de vie insolite et profonde.
Florian Mermin pour sa seconde exposition solo à la galerie Backslash confirme la richesse plastique de son univers en conjuguant avec une rare délicatesse les intuitions environnementales de l’Arte Povera à une esthétique plurielle mêlant les frères Grimm et Freud, Cocteau et Penone, Jérôme Bosch et Frankenstein. Un vrai conte de Noël !
Gastineau Massamba partage le sort de ces êtres humains fuyant les violences politiques, sans aucune sécurité économique ni sociale, se déplaçant et migrant à la recherche de meilleures conditions de vie. C’est la force de sa peinture de pouvoir rendre visible le cri silencieux de ceux que nous côtoyons, et de nous faire « entendre » notre propre surdité à la souffrance d’autrui.
Pour la seconde exposition que la galerie Christian Berst consacre à Anna Zemánková, ce sont des oeuvres rarement montrées qui sont présentées en témoignage d’un pouvoir de résilience admirable et poignant.
La galerie Christian Berst nous invite à découvrir la puissance des fétiches de celui qui fut longtemps diagnostiqué : « résidu asilaire irrécupérable ». Ironiquement l’œuvre de Franco Bellucci est une ode à la résilience et à la récupération !