Par Philippe Lege
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L'ex- ministre grec des Finances vient de porter de lourdes accusations contre la Troïka. En aout 2011, les émissaires de la BCE, du FMI et de la Commission européenne auraient proposé au gouvernement grec "des fonds pour organiser une sortie en douceur de l'euro".
Par Philippe Lege
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Trois évènements récents viennent jeter une lumière crue sur la construction capitaliste européenne : la publication d’un rapport de la Commission sur la situation économique, l’accord du dernier Conseil européen concernant le budget communautaire, et la défaite électorale de Mario Monti.
Par Philippe Lege
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Dans son édition du mardi 12 février 2013, le journal Les Echos annonçait (en une) que "Le projet de loi transposant l'accord emploi est bouclé" et livrait (page 3) "Les points clefs du projet gouvernemental". Mais, sur un point essentiel, cette présentation ne reflète pas exactement le contenu du texte transmis par le ministre du Travail au Conseil d'Etat.
La troisième idée qui sous-tend le diagnostic optimiste est qu’après la pluie viendra le beau temps. Force est de constater que la stratégie des socio-libéraux français repose essentiellement sur cet adage.
François Hollande déclarait le 17 octobre que « plus tôt nous sortirons de la crise de la zone euro, c'est-à-dire plus rapidement nous réglerons le cas grec, et plus vite nous parviendrons à financer à des taux raisonnables les dettes des pays bien gérés ». Mais ce soi-disant « cas grec » est-il vraiment en passe d’être réglé ?
Par Philippe Lege
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« Aujourd’hui, les Etats et les entreprises arrêtent d’investir et nous allons vers la destruction » affirmait très récemment le directeur des études de la banque Natixis. Il ajoutait toutefois: « Si nous pensons une croissance de long terme, le désendettement se fera tout seul ». C’est une solution de ce type, une « stratégie de croissance européenne », que promettait sans cesse le candidat Hollande.
Par Philippe Lege
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« Nous devons être la gauche qui change » avait affirmé François Hollande dans son discours de candidature. Dans un contexte de crise du capitalisme néo-libéral, quelles sont les marges de manœuvre des sociaux-démocrates ?
Préparant un éventuel retour de leur idole, les « Amis de Nicolas Sarkozy » ont récemment publié une tribune dans le Figaro pour expliquer qu'ils défendront « pied à pied » le bilan de l'ex-Président de la République. En dépit de leur talent de bonimenteur, les membres de cette fine équipe pourront difficilement masquer les lourds dégâts du quinquenat en matière d'emploi, de revenus, de droits sociaux ou de libertés fondamentales.