Le public de l'Espace Colloque des Arcenaulx à Marseille a accueilli le mercredi 10 novembre 2021 deux intervenants * de haut niveau sur le thème « une armée pour l’Europe ? » Le colloque a révélé que la France et l’Allemagne ne partagent pas le même point de vue sur la légitimité, indispensable pour construire et faire fonctionner une défense européenne.
Mme Katrin Aus dem Siepen, directrice de la section politique de l'Ambassade de la République Fédérale d'Allemagne à Paris, a remis le Prix de l'amitié franco-allemande à Monique Beltrame, présidente du Comité Européen Marseille, à l'issue du colloque organisé sur la défense européenne ce 10 novembre avec le général Michel Foudriat, président de l'Association IHEDN Provence.
Les Européens, doutant une fois de plus de la fiabilité des États-Unis, s’interrogent sur leurs capacités intrinsèques à intervenir sur des théâtres d’opérations extérieures, voire à sanctuariser la défense de leur territoire. Un colloque* intitulé « une armée pour l’Europe » se tiendra prochainement à Marseille pour expliquer les enjeux et les défis à relever.
Au moins d’août 2021, la Kabylie a été ravagée par de gigantesques incendies. En cause : le réchauffement de la planète. À Saint Etienne, l’association culturelle Numidya et ses partenaires ont initié une cagnotte au profit des sinistrés.
Des institutions européennes et nationales qui se présentent unies, comme un seul homme, appellent les citoyens à s’exprimer sur l'avenir de l'Europe. Elles ont multiplié les moyens mis à leur disposition pour faire entendre leurs voix… On est en droit de s’interroger sur les raisons qui motivent aujourd'hui la tenue de cette conférence… et sur son avenir même !
Connaissez-Vous le Corps Européen de Solidarité ? Erasmus + ? Un peu ? Beaucoup ? Pas du tout... ?
Le webinaire (réunion collective directe via Internet - contraction des termes web et séminaire) « Mobilité internationale: Erasmus + et Corps européen de solidarité », aura lieu en ligne le 11 juin 2021 de 14h30 à 16h.
Ce 9 mai, le parlement européen a commémoré la Déclaration Schuman et lancé la Conférence sur l’avenir de l’Europe. Cet appel du 9 mai 1950, à l’origine de la CECA (Traité de Paris 1951), s'adressait aux dirigeants des États. Soixante-dix ans plus tard, on veut associer le plus grand nombre de citoyens aux décisions. « Pour une Europe plus juste, plus verte et plus numérique ».
Le traité CECA (Communauté européenne du charbon et de l’acier), signé à Paris en 1951, a mis fin à la fatalité de la guerre. Caduc depuis 2002, son esprit imprègne toujours les institutions de l'Union Européenne, en dépit du retour en force des États nations, du nationalisme et de son corollaire, la doctrine souverainiste, opposée à l’Europe fédérale*.
L’année 2020 a été frappée par une série de bouleversements, menaçant l’UE jusque dans ses fondements. En dépit du Brexit et de la pandémie du coronavirus, qui bouleverse les économies et les finances des 27, les Européens ont renforcé leurs liens. Rappel des faits par Monique Beltrame, présidente du Comité Européen Marseille.
Ancien vice-président du Parlement hongrois, co-rédacteur de la constitution de son pays, Jozsef Szajer est une grosse pointure. Il était au Parlement européen, il y a encore peu de temps, le chef de la délégation du Fidesz, le parti du Premier ministre Viktor Orbán qui approuve les discriminations dont sont victimes des minorités en Hongrie, notamment la minorité LGBT.
