J’ai vécu 25 ans en Russie, de 1992 à 2017. En Russie, je fréquentais le pont Nemtsov, je discutais avec les veilleurs et les visiteurs du mémorial érigé sur le lieu où a été assassiné le leader de l’opposition1…
à Poutine, Boris Nemtsov. Je fréquentais les militants démocratiques. Je filmais et décrivais sur mon blog leurs manifestations pour la liberté et la démocratie en Russie, et leurs arrestations.
Fiché par le FSB (ex-KGB), le 20 décembre, j’ai été victime d’une tentative d’assassinat. Un de ses agents, Eugène Platov, m’a projeté volontairement sur la voirie à Moscou, au-devant de la circulation. Malgré mes plaintes auprès du procureur russe, ce criminel n’a pas été inquiété.
Quatre années d’enquête russe ont transformé Eugène Platov en personne inconnue avec qui j’aurais eu une altercation.
Réfugié en France, j’ai les réfugiés politiques russes à franchir les frontières et leur établissement dans notre pays. Le FSB a envoyé ses agents, Dimitri Murmalev et Vadim Mayorov, nous espionner en France. En juin 2021, Vadim Mayorov m’a tendu un piège en Italie, d’où je ne serais pas revenu.
Je suis certain que des changements profonds sont en gestation en Russie. La Russie doit enfin se moderniser. Ma chronique sur Médiapart a pour prétention de rapporter ces événements.
Наркоторговцы были во Франции до приезда Чеченцев, и будут после, потому что так хочет Париж. Ему выгодно. Вам политической эмиграции трудно жить в заброшенных им кварталах, в которых обитают и потомки колбасной иммиграции. Шок нравов не в Вашу пользу, потому что против Вас стоит и колбасная Франция, это значит — вся страна.
Daria Polyudova a déjà effectué deux ans de prison pour son action contre la guerre de Poutine en Ukraine et pour avoir demandé que les régions russes puissent se prononcer sur leur statut par référendum. Elle a été de nouveau emprisonnée. Le Kremlin veut se débarrasser d’elle en l’envoyant au Goulag pour sept ans.
Le Kremlin est actif au Pays basque. J’ai été frappé deux fois, exclus de locaux au Petit Bayonne, censuré par les médias locaux et menacé sur internet. La presse basque a fanatisé en faveur du Kremlin ses lecteurs et auditeurs. Où sont les fascistes qui valorisent les antifascistes autoproclamés ? Voilà la réponse.
Véra Lavréchina et des militants sont allés soutenir la prisonnière politique russe Darya Polyudova. Un tribunal doit se prononcer sur la prolongation de l’emprisonnement préventif de la militante accusée de violation d'un article passe-partout : « justification du terrorisme ». Il consiste à assimiler toute proposition de référendum au séparatisme et à la justification du terrorisme.
Les réseaux de Poutine ont fait une nouvelle demande de censure de mes articles sur mon blog à Médiapart. Mon texte restera entier. Le Kremlin est actif au Pays basque. J’ai été frappé deux fois, exclus de locaux au Petit Bayonne, censuré par les médias locaux, menacé sur internet : « Au Pays basque, on ne critique pas les Basques », m’ont dit des « antifascistes » qui m’ont traité de fasciste
Ils ont été frères d’armes : Basques, anarchistes, fascistes ou antifascistes autoproclamés, aventuriers de tout poil et « Partisans de la supériorité de la race blanche ». À présent, les néonazis russes entraînent sur leurs polygones militaires des citoyens de pays étrangers. Ces camps, contrôlés par les services secrets russes, sont ouverts aux assidus des centres « Systéma » du GRU en Europe.
Elle se fait arrêter pour avoir écrit sur son masque le mot « Liberté » (Свобода). Depuis une semaine les arrestations de jeunes russes, qui brandissent le mot liberté », se succèdent. Ils exigent la libération du journaliste Ilya AZAR.
Moscou, le 3 juin 2020, le procureur militaire a requis contre Andrei Tolkachev et Yuriy Korny 15 ans de prison à régime sévère et 8 ans contre Andrei Kepti. Ils sont accusés d’être membres de l’organisation « Artpodgotovka » déclarée terroriste en Russie et dirigée par Viacheslav Maltsev réfugié en France. Un complice devenu témoin à charge a disparu.
Кремль натравил своих «собак» на зарубежную оппозицию. В России, эти «псы» одеты в мундиры ОМОНа или служат в штатском, а за рубежом они - то во фраках дипломатов, то в желтых жилетах.