
Pierre RATERRON
Artite plasticien multi-medias, Novelliste ,Chroniqueur
COGNAC - France
Sa biographie
Professeur honoraire de l'Enseignement Supérieur des Beaux-Arts
Commandeur des Arts et Lettres
Né en Egypte ( 1932 ), son père y étant haut fonctionnaire Français . Réside à Alexandrie ( Chatby ) jusqu’ en 1946 . Il a été le camarade d’enfance du réalisateur Youssef Chahine ( qui se1…
prénommait alors Gaby). Sa famille a ses racines en Limousin, à Vintéjoux, pseudonyme qu’il a souvent utilisé en écriture. Passionné d’aviation, au début des années 50 il apprend à piloter, d’abord en France, puis en école de pilotage aux USA notamment dans le fameuse base d’ Edwards, Californie…( celle de l’Etoffe des Héros). De retour en France, études artistiques à Valenciennes, Lille, puis à l’ Ecole Supérieure des Beaux Arts, Paris.
A travaillé avec le peintre André LHOTE et les sculpteurs BARILLOT, CESAR
Différentes rencontres exceptionnelles avec
Les Plasticiens : MATISSE ( 1951), DALI (1957), CESAR ( 1958), PICASSO (1959), LE CORBUSIER
(1959), Edouard PIGNON (1966), Sam FRANCIS (1974) , Serge HELIAS (1978)
Les Compositeurs : Raymond DEPRAZ, STOCKAUSEN, TISNE, Thelonius MONK, COLTRANE,
Cannonball ADDERLEY, Herbie HANCOCK, Martial SOLAL, Yves CLAOUE,
Les Ecrivains : Boris VIAN, BACHELARD, COCTEAU, Jorge SEMPRUN, Alejo CARPENTIER,
Les Réalisateurs : Youssef CHAHINE ( ami d’enfance), Jacques BECKER, Claude CHABROL,
Maurice PIALAT, Claude SANTELLI, Oliver STONE, Jean BECKER
l’encouragent à poursuivre dans une voie pluridisciplinaire ce qui , en France, représentait une véritable gageure
Son blog
31 abonnés
Chants Libres ( Pierre RATERRON)
Ses éditions
- suivie par 224 abonnés Boulevard des Mots-dits
1 / 7
- 74 billets
- 7 éditions
- 55 articles d'éditions
- 0 portfolio
- 0 lien
- 0 événement
- 29 contacts
Articles d'éditions
-
Édition Je me souviens....
LIRE N'EST VRAIMENT PAS RAISONNABLE...
Du plus loin que je me souvienne j’ai aimé lire,…aimé les livres… J’ai la faiblesse de croire que cet amour me vient de mon enfance. Né en Egypte avant la seconde guerre mondiale, de parents en poste à Alexandrie, j’y ai passé mes quinze premières années. -
Édition Je me souviens....
IL N'Y A RIEN DE PLUS VIOLENT QUE DE PERDRE SES REVES ...
Boulevard Sébastopol, un jeudi d’automne de 1970 aux alentours de quinze heures : Cela fait un bon moment que je l’observe : au bord du trottoir, l’homme, la cinquantaine, semble ne pas prêter attention à la circulation. Il s’engage sur la chaussée, avance le pied droit, comme ça, sans y penser… Je bondis et le rattrape par la manche de son imperméable, juste à temps … -
Édition Meta-Mediapart
LE MOINDRE MAL, ...ET LE PIRE...
Il faudrait être un jocrisse de derrière les fagots ou une "fausse fesse" d'envergure ( faux-cul n'est que masculin. Vive l'égalité et la parité des sexes !...) pour ne pas s"apercevoir: -
Édition «Mes Chroniques Alexandrines»
XXXIV - L'AUBE DE FRANCE
On est le 20 juin 1946. C’est aujourd’hui que Pierre , 14 ans, part pour la France avec ses parents Alice et Georges-Mathieu. La veille, des employés des Messageries Maritimes sont venus chercher deux malles-cabines et quatre grandes valises pour les faire passer en douane. -
Édition «Mes Chroniques Alexandrines»
XXXIII - LA ROUTE D'EL - ALAMEIN
De bonne heure, sous le contrôle attentif d’Alice, Mabrouka prépare le pique-nique de Pierre, deux sandwichs club avec du feta, des tomates et du blanc de poulet, une banane, deux mandarines et une gourde remplie d’eau teintée d’antésite. Le tout dans une sacoche militaire achetée à la NAAFI, magasin des troupes anglaises. -
Édition Boulevard des Mots-dits
De l'expression "Entre la Poire et le Fromage.."
poire-fromage © DR
J'ai toujours utilisé l'expression "Entre la poire et le fromage" quand il s'agissait de définir un entretien ou une discussion qui se déroulait au cours d'un repas, sans me poser à aucun moment la question de son origine. -
Édition Je me souviens....
Je me souviens de la boîte de crayons de couleurs...
crayons-de-couleur
Octobre 1939, j’ai sept ans, ça y est je suis devenu raisonnable, La « drôle de guerre » est commencée. Avec mon cousin Marcel, nous entonnons à pleins poumons : « Nous f'’rons sécher not' linge sur la ligne Siegfried !... ». Toutefois, à la Gastine, la maison de mon arrière grand-mère Catherine en Haute Corrèze, entre bruyères, épicéas et rus qui babillent, les veillées sont moins joyeuses . -
Édition Socialisme hors-les-murs
Le plus grand risque pour l'Idéal Républicain
-
Édition «Mes Chroniques Alexandrines»
XXXII – Le piano de rêve
-
Édition «Mes Chroniques Alexandrines»
XXXI - Le cinéma Eden