Le projet gouvernemental de réforme des retraites n'est pas une « réforme de justice ». La retraite amplifie les inégalités constatées durant les périodes d'activité. C'est bien documenté pour les femmes. Penchons-nous aussi sur le cas des travailleuses et travailleurs immigré.e.s, dont beaucoup percevront une retraite minimale, pour diverses raisons.
Note de lecture – Déjà 7 tomes sur l'histoire de cette usine de Couëron (Loire-Atlantique) et de celles et ceux qui y ont travaillé, jusqu'à la fermeture du site à la fin 1988. Le tout dernier livre donne la parole à 15 anciens salariés de cette usine (4 femmes et 11 hommes).
Le travail excessif et la surconsommation, source d'émissions de gaz à effet de serre : un autre enjeu à faire valoir pour contester cette réforme des retraites et y intéresser les plus jeunes d'entre nous.
Nous avons bien compris les impacts principaux de cette réforme : allongement de l’âge légal de départ à la retraite jusqu’à 64 ans en 2030, par ajout de 3 mois supplémentaires par an et de la durée de cotisation jusqu’à 43 annuités, d’ici à 2027. Il n’est pas inutile d’examiner le reste de la réforme « proposée » par le gouvernement et y voir quelques fourberies.
Ou comment l'art de la bande dessinée restitue des existences de militant-e-s.
A propos de la BD « Gueule d'or » de Kristen Foisnon et Marine Summercity.
La responsabilité, il est évident qu'il faut en faire preuve. Et la plupart des gens ont font preuve, en respectant le code de la route, en éduquant leurs enfants, en prenant soin de leur environnement, humain ou naturel. Il n'empêche que l'invitation à l'esprit de responsabilité est souvent dévoyée, comme une injonction à se soumettre.
A la mi-novembre 2022, nous serons environ un peu plus de 8 milliards d'êtres humains sur terre (selon le rapport « World Population Prospects 2022 », publié en juillet dernier par le Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies).
Ça doit interpeler, au même titre que le dérèglement climatique et les injustices sociales.