Ce matin, comme tous les dimanches parisiens, je me rends au marché.
J'aime déambuler dans cette halle née des années quatre-vingt du… dix-neuvième siècle. Une année où le chagrin le disputait à l'espérance: Pasteur pratiqua la première vaccination quand le père de Gavroche tirait sa révérence.
La fin de règne de Bouteflika entraîne la défection en chaîne de ses ex affidés qui détalent l'un après l'autre et fuient comme des charognes leur amour décomposé. Lâchant au passage le dernier morceau de peur de rater le prochain marchepied.
Ou comment une bande d'irresponsables aux méthodes indignes d'apparatchiks en mal de carrièrisme politique, enterre chaque jour un peu plus l'Esperance à 7millions de voix, née de l'Avenir en Commun.
La Fortune relève du pillage et parfois du hasard. Elle est contingence, soumet, vassalise, et devient incantation des intérêts particuliers.
La Vertu demande volonté, énergie, courage, capacité d'engagement, au service de l'intérêt général.
Voilà qu'une fois de plus, et toujours à la même période rampante, j’ai du essuyer les esclandres de certaines de mes connaissances: on me reproche mon peu d’enthousiasme à Être Musulman car je ne me plie pas aux rites et rituels ambiants.
Pourtant, autant que je m'en souvienne, je ne sais pas être entre autres choses, que musulman.