Dans le cadre des problèmes de pédophilie, et d’une manière générale des abus sexuels, perpétrés par des prêtres, ce qui choque le plus, et qui est en même temps le moyen par lequel ces hommes ont pu commettre ces actes, c’est qu’ils sont les ministres du sacré, dans l’Église. C’est parce qu’ils sont les seuls habilités à administrer les sacrements, qu’ils ont une telle autorité et un tel pouvoir.
Le mythe du jardin d’Éden est bien connu, ou du moins le sens que le christianisme a voulu lui donner : normalement le monde aurait dû être parfait, mais le mal, et la mort, y auraient fait leur apparition, par la faute des premiers humains, parce qu'ils auraient désobéi à Dieu.
Une des raisons qu'invoque l'Église catholique contre l'ordination des femmes à la prêtrise est que, à l'institution de l'Eucharistie — à la Cène —, n'auraient été présents que les douze apôtres, tous des hommes. Mais qu'en est-il vraiment ?
Au-delà de la désaffection qui touche les pratiques religieuses censées s'inspirer de lui, il est surprenant comme la personne de Jésus, elle, continue d'intriguer, sinon d'intéresser, tout un chacun dans notre société, pourtant dûment formatée et canalisée par le dogme d'une science objective, théoriquement seule garante du vrai...
Au-delà de la désaffection qui touche les pratiques religieuses censées s'inspirer de lui, il est surprenant comme la personne de Jésus, elle, continue d'intriguer, sinon d'intéresser, tout un chacun dans notre société, pourtant dûment formatée et canalisée par le dogme d'une science objective, théoriquement seule garante du vrai...
Au-delà de la désaffection qui touche les pratiques religieuses censées s'inspirer de lui, il est surprenant comme la personne de Jésus, elle, continue d'intriguer, sinon d'intéresser, tout un chacun dans notre société, pourtant dûment formatée et canalisée par le dogme d'une science objective, théoriquement seule garante du vrai...