Le vendredi 14 août, Libération publiait une tribune sur la mémoire des exactions italiennes et surtout yougoslaves commises à la fin puis au sortir de la seconde guerre mondiale du côté de Trieste.
Toute publicité pour un fameux estaminet des environs de Lille, qui recèle «des jeux traditionnels tels que le billard Nicolas (à soufflette), les toupies, le marteau, la boule à rouler, le massacre…», serait une fausse piste. L'affaire est grave, politique.
Le 30 mars 2009 au soir, à la Scam (société des auteurs multimédias), le réalisateur et ancien directeur de la Villa Médicis Jean-Marie Drot, 80 ans, s'échauffe: «Quelque chose me dit que tout cela se finira avec des fourches.»
Florence Cousin, la secrétaire de rédaction du quotidien Libération s'étant mise en grève de la faim dans les locaux de son journal le 10 février 2009 pour protester contre son licenciement
«Nous devons essayer de répondre à la demande d'autonomie de nos jeunes, pour leur donner les moyens de choisir. Et choisir, c'est être libre, et être libre, c'est être responsable. Voilà comment j'aimerais que nous puissions construire une politique de la jeunesse»
La crise fortifie ceux qui font mine d'y faire face. L'orateur a longtemps répété devant sa glace, du temps qu'il ruminait son ascension — ses tics en témoignent.