Quelques billets, quelques notes, pour partager mes interrogations, mes convictions et mes coups de sympathie, d'empathie ou d'indignation ! [sous le regard interrogateur de Mafalda sur le "monde", selon1…
Quino!] Ici l'image d'O Ardina à Porto, vendeur de journaux à la criée très populaire dans les villes de Lisbonne et Porto dans les années 50/60!
L'identité : le regard sur l'autre !Nous sommes mis en demeure, une fois encore de nous retrouver sur le terrain choisi par le pouvoir [son identité...]. Que nous soyons pour, contre, que nous refusions d'y participer ou que nous décidions de nous en emparer, le pouvoir par l'intermédiaire d'un ministre-transfuge, nous impose ses thèmes au gré de sa stratégie et de ses opportunités.
Les résultats des européennes donnent à la majorité en place le droit et la légitimité de poursuivre son action, dite de réforme, tant décriée et contestée par les plus variés secteurs d'activité du pays.
Par ARTHUR PORTO
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C'est un ministre de l'éducation nationale dont la tâche a été de "vider", en supprimant des postes, les établissements publics d'enseignement. Pendant deux ans il a affaibli la structure d'encadrement, pédagogique et administrative sous couvert de barèmes et sous prétexte d'économies.Fier de ce choix contribuant au démantèlement des lieux sensés instruire les enfants, le futur du pays, voilà qu'il constate que finalement il y a des violences, une idée lui vient, les portiques et les fouilles.
Par ARTHUR PORTO
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L'histoire se déroule dans une capitale d'un pays du sud. Lors des élections municipales, les électeurs n'ont pas trouvé dans les candidatures présentées de quoi les intéresser et voilà qu'une grande majorité, plus de soixante-dix pour cent du total, le fait savoir en votant blanc. Voilà le point de départ du livre de José Saramago, La lucidité, (éditions du Seuil oct. 2006). C'est un roman, comme une fable (genre que l'auteur affectionne), comme un cri de colère contre l'état du système démocratique.
Par ARTHUR PORTO
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Le même jour les deux informations nous arrivent et on ne peut pas – je ne peux pas – ne pas les rapprocher. À la fois sur l'état d'esprit sécuritaire et répressif qui infiltre les professionnels et la population et l'exemplarité de «l'acte civique » d'un président de Conseil Général.
Par ARTHUR PORTO
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Prendre du temps pour marcher. Arrêter « le quotidien », son quotidien pour découvrir des chemins, des paysages, des sites d'histoire, faire des rencontres, voilà ce à quoi je consacre le début du mois de mai.Entre Figeac et Lectoure, du Lot au Gers, sur des sentiers traversés depuis tout les temps et toujours cette sérénité d'un pas régulier qui autorise à regarder autour, à s'arrêter, à admirer, à humer les odeurs de la terre, à entendre des silences de paix, à écouter les oiseaux, à respirer autrement ...
Raconter l'histoire de son grand-frère c'est dire quelque chose de ses parents, se libérer de son propre parcours, comment on est arrivé là, ce qui fait son acte d'écriture. C'est aussi « ajuster » des comptes, solde positif ou négatif! À plus forte raison quand il s'agit du grand-frère modèle.
Un président se laissant aller -sans état d'âme et à dessein- au commentaire facile, ironique et malveillant sur les autres responsables politiques, d'ici ou d'ailleurs. Une ex-candidate à la fonction se lançant dans l'exercice épistolaire des excuses et du pardon. Une classe politique se gaussant en exigeant des excuses ou en les demandant aux destinataires du pardon et en inventant des grotesques et dérisoires sujets de pardon ou à se faire pardonner...
Le soutien du premier-ministre Portugais à monsieur Barroso pour un nouveau mandat à la tête de la Commission Européenne est très commenté à Lisbonne et donne à rire. C'est que le gouvernement est socialiste, monsieur Socrates le serait également et estime que le PS doit appuyer sa candidature car « il s'agit d'un Portugais »!
Par ARTHUR PORTO
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La Cité nationale de l'histoire de l'immigration n'a pas besoin de ministres pour être reconnue comme un lieu d'exposition du parcours des populations qui ont participé à la construction de ce pays et de débat sur l'histoire des migrations et la vie des étrangers en France.